Littérature, La Pensée et le mouvant, Bergson, Spencer, Kant, Artistote, métaphysique, science, mathématiques, système de philosophie, temps, théorie associationniste de l'esprit, spatialisation, mouvement du positivisme, non calculable, expérience de la durée
Ce qui arrête Bergson c'est un manque de précision à l'exception de Spencer qui fait une opposition claire entre précision et système. L'influence de Kant qui est toujours à l'arrière-plan. Malgré ça, Bergson reste anti-kantien, pour lui une métaphysique est possible si la philosophie ne manque pas de précision. La science est devenue précise par la mesure, c'est-à-dire qu'elle soumet les phénomènes à la mesure. Or, la philosophie n'a pas la même approche, elle a vocation à connaitre ce qui ne se mesure pas, ne dispose pas d'outil de mesure. L'intuition est une méthode de précision qui ne dispose pas de mesure.
[...] La volonté est libre si elle a le choix entre plusieurs possibles. Donc elle est préservée si elle peut choisir entre plusieurs possibles. > ces possibles, que critique Bergson, à défaut d'être actuels càd réels, ils sont au moins dessinés d'avance (mots de Bergson.) > Simplement la liberté consiste à faire exister un possible par une autre. Or pour Bergson cette élection du possible par la volonté n'est pas la liberté pcq elle ne créée pas quelque chose de radicalement nouveau, ce n'est pas une action radicalement nouvelle. [...]
[...] > philosophie de l'époque de Bergson : positivisme et critique kantienne de la métaphysique. > Pour Bergson, la métaphysique est née des problèmes qui ont été soulevé par l'intelligence sur le mouvement et le changement. > Zénon est le père de la métaphysique, l'acte de naissance de la métaphysique c'est Zénon parce que c'est Zénon qui soulève des contradictions sur la possibilité du mvt ce qui donne lieu à la métaphysique. > inconsciemment la métaphysique a été séduite par l'intelligence qui elle-même est sous l'influence du langage. [...]
[...] > l'intelligence va réduire le mouvement à une suite de positions et si entre deux positions il se passe quelque chose c'est d'introduire de nouvelles positions. L'intelligence refuse de voir ce qui est en mouvement, la raison du refus de cette transition c'est une finalité pragmatique de l'intelligence. Ce qui nous intéresse ce n'est pas que quelque chose se passe mais c'est de savoir où ça passe. > là où l'analyse se place toujours à l'extérieur de son objet donc dans l'espace. [...]
[...] Il faut coller au fait, la métaphysique doit être un juste corps. > donc il envisage une sorte de réalisation métaphysique de l'expérience. > par cette formule on voit bien comment Bergson tourne le dos à la métaphysique. > c'est la pensée qui épouse l'expérience, qui sert au plus près ce que montre l'expérience et par cette méthode, la métaphysique peut saisir ce qu'est la durée càd elle peut saisir l'absolu de la durée. Cette saisie de l'intuition est toujours précédée de la critique de ce qui l'empêche de s'exercer, Bergson expose les obstacles à la vraie méthode philosophique. [...]
[...] > intelligence vient par-dessus l'intuition pour essayer de la dérivée artificiellement. Ce qui est réel pour Bergson c'est la continuité de la transition. Quand on prend conscience que l'essence du mouvement c'est la mobilité alors il faut renverser le raisonnement habituel, il faut dire que non seulement le changement est indivisible, mais en plus il faut dire que le changement est substantiel. On a une conclusion de la métaphysique de la durée qui renverse la conclusion de la métaphysique traditionnelle puisque la conclusion métaphysique consiste à l'intuition pure du changement. [...]
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