Oedipus and the devil, Lyndal Roper, sorcellerie féminine, sorcellerie masculine, époque moderne, religion, alliance entre le diable et les femmes
Lyndal Roper, l'auteure de ce livre, tente d'examiner de plus près la sorcellerie féminine de celle masculine. Cette division des sexes par rapport au sujet surnaturel lui parut très importante puisqu'elle tient à prouver que ce dernier appartient au féministe. La faiblesse féminine ainsi que la séparation du corps et de l'esprit forment l'objet principal de ce livre. Donc, l'appui de deux méthodes psychanalytiques fut nécessaire à cette auteure ayant décerné plusieurs années de sa vie au sujet de la sorcellerie féminine à l'époque moderne.
[...] Elle essaie donc de nous faire comprendre qu'il est important d'expérimenter chacun des cas d'une façon neutre et particulière. Il nous permet ainsi donc de comparer les cas individuellement au lieu qu'en un ensemble et d'éviter de généraliser le tout. L'auteure réussi à nous projeter sur le sujet en nous faisant prendre conscience des pensées populaires de l'époque tout en nous expliquant que le peuple européen appartenant à l'époque arriérée à laquelle elle s'intéresse vie pratiquement juste de la culture orale. [...]
[...] Par exemple, dans l'histoire du Nouveau Testament de la Bible, Êve déjoua Dieu et décida de croquer dans le fruit interdit et enjôla Adam à faire de même et furent donc bannis du paradis par la faute de la femme. Les dépendances de l'époque englobaient l'alcool et les jeux auxquels ont pariaient de l'argent. Ces dépendances étaient rencontrées dans des endroits pratiquement réservés aux hommes. Pas supportés par l'Église et entraînant plusieurs pensées populaires à croire en la saleté des lieux permettant la pratique de ces loisirs : les tavernes (par exemple). S'ensuivent souvent par des bagarres. [...]
[...] La faiblesse féminine ainsi que la séparation du corps et de l'esprit forment l'objet principal de ce livre. Donc, l'appui de deux méthodes psychanalytiques[1] fut nécessaire à cette auteure ayant décerné plusieurs années de sa vie au sujet de la sorcellerie féminine à l'époque moderne. Une des sources officielles que Roper utilise afin de fonder ses écrits sur le sujet de la sorcellerie à Augsburg en Germanie sont les transcriptions du XVIe et XVIIe siècle retrouvé au Conseil Municipal de la ville en question. [...]
[...] Elle veut ainsi démontrer une certaine instabilité sexuelle chez les deux sexes et expliquer les fondements de l'hétérogène sexuel. Comme les pratiques sexuelles tendaient vers le silence, Lyndal décida de surtout s'intéresser au body language Ce dernier (le langage du corps) est interprété différemment chez l'homme et la femme. Comme l'auteur nous fait constater depuis le tout début de sa recherche, ce n'est pas la seule chose qui diffère chez les deux sexes. Par exemple, lorsque l'on s'attarde à la religion, on remarque que le mauvais côté des femmes fait en sorte qu'elles penchent vers le mauvais côté et invoque en un même temps le désir de vouloir communiquer avec le Diable et d'ainsi profiter des pouvoirs maléfiques. [...]
[...] Les seuls pêchés que connaissent réellement l'homme visent la dépendance[7] et la dépense de l'argent familial en des loisirs sales[8] Lors de la perte de la masculinité, chose directement reliée à l'honneur chez un homme, ce phénomène fut souvent associé à la sorcellerie. Donc à cette même époque se développe une certaine méfiance envers la diminution du potentiel masculin face au pouvoir inattendu des femmes[9]. Freudienne (dont le titre du livre fait référence à sa première topique faisant référence au complexe d'Oedipe) et Kleinienne. Une certaine subjectivité est recherchée. Étant plus communément pratiqué sur des corps féminins à l'époque. D'où l'apparition de quelques maladies mentales. Pour nommer que quelques-uns des pêchés capitaux auxquelles penchent les envies de la femme. [...]
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