Ce livre est du genre des sciences humaines, il traite des sciences cognitives, des émotions, du cerveau qui pense. Dans son livre Antonio Damasio, décrit longuement deux patients qui ont un siècle qui les séparent. Le premier est Phinéas Gage un homme qui lors de son travail a survécu alors qu'une barre à mine lui est transpercée le cerveau, le cortex préfrontal. Alors que le deuxième patient nommé Eliott par l'auteur, lui, c'est à la suite d'une opération d'une tumeur cérébrale que son cortex préfrontal a été touché. Mais tous deux possédaient un point commun, car bien que leur cortex préfrontal ait été touché, ils ont continué à avoir une intelligence normale, mais cependant ils ne ressentaient plus, ils n'éprouvaient plus aucune émotion. Et c'est dans ce livre, que l'auteur compare ces deux patients, essaie d'expliquer pourquoi leurs intelligences sont restées intactes, mais qu'ils ne possédaient plus d'émotions. L'auteur a alors découpé son livre en trois parties, elle-même découpé en trois ou quatre parties (selon les parties), et à l'intérieur des chapitres, il y a des sous-titres qui présentent tout d'abord l'histoire des patients, ensuite pourquoi il les a choisis, les problèmes qu'ils avaient, et les hypothèses qu'Antonio Damasio dégageait. L'auteur insère des schémas explicatifs ou bien des images réelles pour expliquer les problèmes des patients et cite les explications de médecins, etc.
[...] Et c'est en 1995 qu'il sort son premier livre intitulé L'Erreur de Descartes : la raison des émotions, Paris, Odile Jacob. Ce livre est du genre des sciences humaines, il traite des sciences cognitives, des émotions, du cerveau qui pense. Dans son livre Antonio Damasio, décrit longuement deux patients qui ont un siècle qui les séparent. Le premier est Phinéas Gage un homme qui lors de son travail a survécu alors qu'une barre à mine lui est transpercée le cerveau, le cortex préfrontal. [...]
[...] Et c'est dans ce livre, que l'auteur compare ces deux patients, essaie d'expliquer pourquoi leurs intelligences sont restées intactes, mais qu'ils ne possédaient plus d'émotions. L'auteur a alors découpé son livre en trois parties, elle-même découpé en trois ou quatre parties (selon les parties), et à l'intérieur des chapitres, il y a des sous-titres qui présentent tout d'abord l'histoire des patients, ensuite pourquoi il les a choisis, les problèmes qu'ils avaient, et les hypothèses qu'Antonio Damasio dégageait. L'auteur insère des schémas explicatifs ou bien des images réelles pour expliquer les problèmes des patients et cite les explications de médecins, etc. [...]
[...] En effet, il peut devenir presque automatique, et donc se mettre en route sans que nous le voulions forcément, par exemple quand nous prenons des décisions sans avoir des raisons valables, sur la base de l'intuition. Pour expliquer l'argumentation de l'auteur, nous verrons dans un premier temps la comparaison de Phinéas Gage, et du patient Eliott, et dans un deuxième temps il explique ses hypothèses. I. La comparaison de Phinéas Gage et du patient Eliott : 150 ans de différence Tout d'abord Antonio Damasio commence son livre en racontant l'histoire de Phinéas Gage, qui a survécu alors qu'une barre à mine lui a transpercé le crâne lors d'une explosion. [...]
[...] Et ne parvenait pas non plus à prendre des décisions, car prendre une décision implique plusieurs choses : une situation qui enclenche une demande de décision, les différentes possibilités, et enfin les conséquences que peuvent enclencher le fait d'avoir choisi telle ou telle décision. Ainsi prendre une décision implique un processus émotionnel, instinctif et mnésique. II. Hypothèses Dans un deuxième temps, l'auteur émet des hypothèses pour tenter d'expliquer sa thèse et pour y répondre il va essayer de comprendre pourquoi prendre une décision de nous-mêmes dans la vie sociale et personnelle est nécessaire pour notre survie. [...]
[...] Pour cela il a analysé les interactions entre l'organisme et ceux qui nous entourent. De ce résultat il divise les images perceptives c'est-à-dire toutes les actions qui consiste à regarder comme lire, regarder le paysage, et les images de rappel ce sont les images qui évoquent notre passé, c'est-à- dire l'image qu'on se fait dans notre tête du passé ( par exemple, lorsque l'on retourne dans un lieu de notre enfance et on se dit j'avais l'impression que c'était plus grand alors que rien n'a changé c'est juste l'image que l'on se faisait de ce lieu étant petit), et ces images-là sont le résultat des marqueurs somatiques Conclusion : En somme, dans ce livre L'erreur de Descartes tout porte à croire que Descartes s'est réellement trompé en séparant le corps de la raison, et que l'auteur a formulé une hypothèse qui s'est avérée vraie grâce à l'avancée technologique (imagerie cérébrale) et ainsi il a su montrer que l'absence d'émotions et de sentiments empêche un individu d'être rationnel. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture