Il s'agit d'un résumé sur l'évidence selon Descartes en 3 parties sans introduction et avec une conclusion.
[...] Conclusion : C qui est évident est-il toujours vrai ? : - Immédiateté de l'évidence était bien un gage de la vérité. - la médiation d'une preuve faisait apparaître le caractère éternellement vrai d'une proposition. Il nous a fallu, non pas rejeter l'évidence comme critère du vrai, mais repenser et corriger ce critère. - Pour penser l'évidence autrement : « doute méthodique » de Descartes. Il faut passer par l'intermédiaire d'un doute systématique et « hyperbolique » questionnant l'ensemble de nos 7 opinions. [...]
[...] Mais il va trouver une raison de douter de cela. Pour douter de 2+2 = 4 par exemple, il utilise l'hypothèse du dieu « omnipotent », une personne toute puissante en moi qui me persuade que 2+2=4 est une vérité rationnelle dubitable. A partir de ce principe plus rien ne semble résister au doute : le doute semble universel. Le doute est menacé par la force de l'habitude : nous adhérons non pas à ce qui nous semble le plus certain, mais à ce qui nous semble le plus familier, le plus habituel. [...]
[...] doctrine cartésienne de l'évidence et du doute. René Descartes : grâce au « doute systématique et hyperbolique » que l'évidence du premier principe de la connaissance, le « cogito » (« je pense = je suis ») est « intuitionnée » apparait en pleine clarté et distinction). L'évidence de cette vérité immédiate, médiatisée par le doute, rejaillit sur toutes les autres vérités qui en sont déduites. Pour Descartes : la science = que des vérités absolues. Pour être certain, un jugement doit s'opposer au préjugé ou au jugement précipité. [...]
[...] 1[ère] objection : impossible de douter des choses sensibles les plus proches sans passer pour un fou (ex : être nu et se croire habillé). Mais il cherche à montrer qu'il faut tout de même en douter, il compare les rêves à la folie. > Question l'état de veille se distingue-t-elle de l'état de rêve ? Si oui, alors on se trompe sur l'ensemble des perceptions qui semblent claires. Et oui car de nos jours, impossible de les distinguer. On peut douter des sensibles proches. L'imagination dans une œuvre (film, tableau . [...]
[...] Pour trouver il se pose 2 questions : - Un dieu qui aurait mis des pensées en lui ? Non car pas certain. - Est-il là au moment où il pense ? Réponse contrastée. Si c'est avoir un sens ou un corps NON car j'ai déjà douté des choses corporelles. Si « je » est dépendant du corps ? Non pas dépendant, la pensée n'est pas rien, c'est bien une réalité. Main génie : « être trompé c'est être » donc « je suis si il me trompe ». [...]
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