Bolzano contre Kant : le nouvel anti-Kant - Frantisek Prihonsky (2006)

Thèmes abordés

Bolzano contre Kant, le nouvel anti-Kant, Frantisek Prihonsky, 2006, Sandra Lapointe, concept de vérité, proposition en soi, représentation, objet, propositions empiriques, intuition

Résumé du document

Frantisek Prihonsky a écrit "Bolzano contre Kant : le nouvel anti-Kant", introduit, traduit et annoté par Sandra Lapointe, avec le concours du Centre national du livre, Librairie philosophique J. Vrin, édité à Paris en 2006. Concernant la thèse principale de cet ouvrage, l'auteur s'intéresse au concept de vérité, et s'aide de plusieurs de ses propres concepts pour le clarifier. Pour lui, on conçoit la vérité selon une proposition en soi (non pensée/jugée/énoncée), cette proposition elle-même constituée à partir de représentations (non liée à l'objet).

Extraits

[...] C'est grâce à tous ces concepts, appliqués aux vérités, qu'il en vient à la définition de la déductibilité tout d'abord, puis ensuite à la définition du nécessaire, du contingent et du possible. Ces derniers concepts délimitant ainsi la signification du vrai selon Bolzano Avis personnel Je trouve la position de l'auteur convaincante, en ce qu'elle amène de nouvelles réponses aux problèmes déjà soulevés par Kant, avec un plus proche rapport avec ce que nous-mêmes pouvons observer. Même si cette théorie reste très, justement, théorique, il n'en reste pas moins que l'auteur utilise des exemples très parlants. [...]

[...] Prihonsky, Bolzano contre Kant Le nouvel Anti-Kant introduit, traduit et annoté par Sandra Lapointe, avec le concours du Centre national du livre, Librairie philosophique J. Vrin, Paris pp36- Thèse principale L'auteur s'intéresse au concept de vérité, et s'aide de plusieurs de ces propres concepts pour le clarifier. Pour lui, on conçoit la vérité selon une proposition en soi (non pensée/jugée/énoncée), cette proposition elle- même constituée à partir de représentations (non liée à l'objet) Arguments S'il lie le concept de vérité avec les propositions en soi, c'est parce qu'il faut admettre qu'il existe des vérités en soi, que personne ne sait ou n'a même envisagées. [...]