Bergson, religion, superstition, profane, sacré, foi, Durkheim, Pascal, Karl Marx, vie associative, communauté
La religion est un ensemble cohérent de croyance et de rites qui se rapportent à une ou plusieurs entité(s) supérieure(s) et qui sont partagés par une communauté. Un fait social, transhistorique. Elle s'oppose à la superstition. L'accomplissement de certains rites amène au dogmatisme (défendre une thèse sans accepter qu'on puisse critiquer). Bergson l'appelle aussi religion dynamique. À une dimension collective car soude une communauté avec des mêmes valeurs, pratiques et croyances. La religion n'est pas indispensable, car la vie associative et l'engagement citoyen prennent le relais.
[...] Bergson l'appelle aussi religion statique. Risque de dégradation de la religion mais les croyant la voit comme un moyen de s'interroger Chaque religion à une fonction psychologique, elles donnent sens à la vie des gens, et les rassurent Sacré : ce qui implique pour l'homme une attitude de respect. Espace sacré est un lieu de culture. Temps sacré est une fêtes, les pèlerinages... le sacré semble indispensable car l'homme accorde de l'importance à certaines chose ou objet (drapeau, président, objet du quotidien...) Profane : ce qui n'a pas de valeur en soi et n'engage aucun comportement particulier La différenciation entre sacré et profane s'appuie sur l'expérience ou non d'une entité supérieure (immédiate ou par un texte sacré). [...]
[...] Il parle de parier sur l'existence de Dieu car si on gagne alors nous gagnons une existence éternelle et bienheureuse, et si nous perdons alors nous n'avons rien de moins car nous seront déjà mort. Texte critique du droit politique hégélien de Marx : la religion est une institution et toute institution est le fruit des rapports de forces qui se jouent matériellement entre les hommes. Les institutions sont au service des possédants alors la religion est nécessaire pour que le peuple ne prenne pas conscience de sa misère, il est dans l'illusion. [...]
[...] Accomplissement de certains rites amène au dogmatisme (défendre une thèse sans accepter qu'on puisse critiquer). Bergson l'appelle aussi religion dynamique. A une dimension collective car soude une communauté avec des mêmes valeurs, pratiques et croyances. La religion n'est pas indispensable car la vie associative et l'engagement citoyen prend le relais Superstition : pratique irrationnelle qui n'implique pas un ensemble de croyance et de rites cohérents. Est une tendance naturelle à attribuer des qualités humaines à des objets pour se rassurer de l'étrangeté du monde. [...]
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