Philosophie, Descartes, Kant, Engels, Rousseau, Hegel, Fodor, Merleau-Ponty, Weber, Platon, Saint-Augustin, Hobbes, la pensée, le langage, le dialogue, la parole, l'état de nature, l' État, la lutte des classe
Cette fiche de révision pour le bac de philosophie expose les idées des principaux philosophes sur la pensée, le langage et l'État
[...] Le contrat social (pacte passé entre Hommes pour former État) est apparemment dans l'intérêt de tous, car amène la paix, mais est surtout dans l'intérêt des riches. oo Contradiction non résolue dans l'État : Prétend mettre fin aux conflits (est au-dessus de tout le monde, tel un arbitre) ; Est l'émanation non pas de l'intérêt général, mais d'un intérêt particulier des riches. Conflit de classe et pas chacun contre chacun. État non nécessaire, mais obligatoire pour atteindre une société où l'intérêt général est privilégié. [...]
[...] Jerry Fodor : le langage de la pensée Dans The Language of thought, il crée une situation : Un certain sujet se trouve dans une situation notée S ; Le sujet considère les options comportementales B1, B Bn en tenant compte de S. Le sujet considère les conséquences C1, C Cn dérivant des options comportementales. Le sujet prend une décision ; il adopte un certain comportement. Fodor assimile la pensée à un calcul il assimile la pensée à un ordinateur (modèle computationnel). [...]
[...] État est un mal nécessaire, car nous sommes politiquement des enfants notre instinct de liberté tolère mal le devoir ou la contrainte. Donc le citoyen doit pouvoir exprimer sa liberté tout en acquérant un sens du devoir. Les Hommes ont besoin d'être dirigés : Hommes comparés à un corps, constitué de membres dont l'organisation fait l'unité et la vie commune. Chaque membre a un rôle essentiel à la subsistance de l'ensemble, mais ne peut survivre seul. Pour les Grecs, un corps n'existe pas sans tête (principe hégémonique) Homme qui gouverne a une science, un savoir propre. [...]
[...] Philosophie : fiche de bac I. René DESCARTES : la conscience et langage Conscience = ce que l'on sait qu'on sait ; Pousse à l'extrême la séparation entre l'intérieur de la conscience et l'extérieur du monde. Est à la recherche de vérités certaines, indubitables (cogito) : les témoignages peuvent être faux ; mes sens peuvent me tromper, ils l'ont déjà fait ; ma raison peut être trompée (hypothèse du malin génie, qui serait un être tout puissant et malveillant qui s'emploierait à me faire croire vraies des choses qui ne le sont pas) ; je ne peux me fier à ma mémoire donc je ne sais pas si j'existais hier. [...]
[...] Rousseau remet en question le caractère éternel de l'état de nature, donc remet en question la légitimité de l'État. Il fait l'histoire de la socialisation de l'Homme : > Préhistoire de l'Homme Homme au pur état de nature : Mène une existence animale, solitaire ; il est soucieux de la seule satisfaction de ses besoins physiques (autosuffisant critique de Platon qui pense le contraire (division du travail)). La perfectibilité (faculté naturelle) lui permet de s'améliorer ; > Hasards climatiques rudesse de la vie Hommes se rapprochent : Fin d'un état d'abondance > Apparition des premiers progrès techniques : ces regroupements ont développé : - la capacité à parler - la capacité à penser Les sociétés humaines sont toujours naturelles et fondées autour de la cellule familiale. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture