Religion, foi, croyance, devoir, laïcité, devoir moral, liberté, raison, Descartes, Kant, Nietzsche, John Locke, Karl Marx, Hegel
La religion repose sur les dogmes : ensemble de principes possédant une dimension cohérente et logique, mais échappant à toute preuve scientifique et matérielle.
[...] Le calcul d'intérêt n'est donc pas moral La religion comme outil de domination L'origine du devoir moral Nietzsche, le crépuscule des idoles Influencé par Schopenhauer : il répudie une partie de son enseignement car il ne croit en rien ( nihiliste ) Critique Socrate Critique le christianisme : croyance religieuse : libre arbitre = responsabilité Libre arbitre = création artificielle par les théologiens, croyance basée sur des idées illusoire Déterministe : penser : rien de ce que l'on fait n'est liée au hasard : nos actes prolonge ce que nous sommes Donc pas libre donc pas de libre arbitre Il pense que les théologiens veulent faire croire au libre arbitre, il est opposé aux théologiens Citation, par-delà le bien et le mal : on ne fait qu'interpréter les choses opposées au manichéen ( bien et mal seulement) « il n'y a pas de phénomènes moraux seulement des interprétations morale des phénomènes » « Ce qui ne me tue pas me rend plus fort » Croyance religieuse : arrière monde = Fiction ne correspondant pas à la réalité et entraînant une dévalorisation de celle-ci ( la vie après la mort sont des arrières monde dès qu'on y croit on considère la vie qu'on peut importante) Devoirs prescrits par la religion font culpabiliser le croyant Libre arbitre = issu d'un désir de domination qui vient de théologiens (critique l'hypocrisie des représentants de Dieu) ils font croire au libre arbitre Généalogie : détermine l'origine d'une idée par sa provenance Les théologiens m'ont pas de libre arbitre mais le font croire par désir de domination Paradoxe car les thelologiens ne sont pas libres et donc sous influence Innocence du devenir : la religion réduit l'élan vital de l'individu (ensemble des désirs constitutifs de notre nature individuelle) L'élan vital > aux biens et aux mal Le bien et le mal existe pas Ce qui est bien ou mal et ce qui est profitable à l'élan vital de l'individu Morale des maîtres et morale des esclaves Nietzsche, généalogie de la morale Moral des maitres Morale des esclaves Système de valeurs de chaque moral Bon/Mauvais Bon= Celui qui réussit Mauvais = Celui qui échoue Bien/Mal Bien= Universel, conforme à l'intérêt commun Mal = Celui qui nuit à autrui Genre de morale Résultats individuels Moral inégalitaire ( Pas basé sur l'altruisme) Morale égalitaire ( Influence religieuse ) Maitre : guider par l'affirmation de soi (réussir indépendamment de la morale des esclaves) Esclave : guider par le ressentiment qui découle de son impuissance (accepte d'être dominé, elle est considéré comme la pire morale car elle va contre l'intérêt de l'individu) La morale est conditionnée par ce que l'on est Religion = consolation pour les esclaves qui ne peuvent s'affirmer face au maître (leurs croyances et le symptôme de leur impuissance) « vaut mieux être un oiseau de proie qu'un agneau » Vaut mieux ne pas croire en Dieu pour rester maître de sa vie Foi et liberté Le cœur et la raison Descartes, méditation métaphysique (troisième méditation) Il cherche à prouver l'existence de Dieu sinon il pense que la science est incertaine Il va faire 3 preuves de l'existence de Dieu La perfection suppose l'existence parfaite et achevé, un esprit humain limité n'a pas su produire par lui-même l'idée de perfection donc il faut supposer que Dieu existe car cette idée de perfection ne peut venir que de lui L'idée de perfection ne peut être attribué à l'homme car il n'est pas en mesure de s'attribuer toutes les qualités. [...]
[...] Devoir et religion Devoir Religion = Obligation : suppose la liberté et lui donne un cadre Commandement : impératif, autorité exterieur/ autorité que l'on s'impose à soi mème Prescription (suppose sa potentiel infraction) Opposé a la contrainte (pas le choix) Opposé au droit, autorisation de faire quelque chose = croyance Portant sur l'existence d'un être suprême (Dieu) Ensemble des pratiques relatives à un culte est fondée sur des textes sacrés (influence divine) Opposer à la science, aux preuves matérielles Deux aspects : Théorique (raison de l'existence de l'homme et de la terre) Pratique (commandement servant a guider les actions) Religion = Relier, rassembler Les personnes dans le même culte et entre Dieu et les hommes croyant Foi = certitude intime que Dieu existe Croyance = en fonction du possible (ni vrai ni faux) La religion repose sur les dogmes : ensemble de principes possédant une dimension cohérente et logique mais échappant À toute preuve scientifique et matériel Agnosticisme : ne sais pas si Dieu existe, ne se prononce pas sur son existence Athéisme : John n'existe pas Déisme : il y a une causes à la création du monde mais on ne croit pas à la représentation de Dieu des textes sacrés La foi repose sur une vérité révélée : la foi suffit, pas besoin de preuve scientifique, intime, personnel La religion par ses commandements est une source d'oppression pour les hommes ? [...]
[...] Exemple : la loi présumant la laïcité date du 9 décembre 1905 séparation de l'église de l'État Arguments : les signes religieux font d'obstacles à l'unité de la nation en repliant les individus sur eux-mêmes autour de leur sentiment d'appartenance à une communauté religieuse Laïcité : neutralité totale (accepter la diversité mais sans la montrer) Feuerback, l'essence du christianisme À influencer Marx Juste une projection fictif de l'homme qui va synthétiser toutes les qualités que l'on retrouve dans l'humanité (pas à l'échelle des individus) Dieu = surhomme qui regroupe toutes les qualités Religion dévalorise l'homme car admet qu'il n'est pas parfait et L'Humanité possède ses qualités Religion = moyen de se réapproprier la perfection et les qualités dont il s'est dépossédé pour les attribuer à Dieu Dépossédé de sa perfection par un culte il va retendre vers ses qualités Impossibilité de l'homme à se croire parfait Marx, critique de la philosophie du droit de Hegel La religion comme fausse représentation abstraite de l'humanité Donc l'homme adhere a une idée factice « Dieu » qu'il a lui-même créé La religion est l'outil de consolation universelle de l'humanité La religion sacralise ceux qui ne l'est pas (l'homme devrait être placé au centre et non pas Dieu) Consolation : souffrir sur terre pour accéder au paradis Conséquences de la thèse : la religion détourne l'homme de ses réelles intérêts La religion comme opium du peuple Le problème de la religion masqué le problème politique bonheur illusoire = paradis, vrai bonheur = vie réelle, tout le monde est egaux (communisme) Religion = drogue antidouleur Il faut en finir avec la religion et à travers elle, avec l'État qui instrumentalise ce dernier pour endormir le peuple (elle fait taire tout élan révolutionnaire) À cause des fantasmes de la religion (paradis) elle endors le peuple qui ne se révolte pas Critique le fait de souffrir en pensant être récompensé Critique la souffrance inutile que ça pose les croyants En critiquant la religion on critique l'état Loi, droit . [...]
[...] Le « pur » devoir Le devoir moral Kant, fondement de la métaphysique des mœurs Distinction entre : une action conforme au devoir et une action accomplie par pure devoir Une action conforme aux devoirs est une action exemplaire (elle peut être uni formalisé mais pas spécialement désintéressé), valeur d'un point de vue social Une action accompli par pure devoir est une action exemplaire et désintéressé, valeur d'un point de vue moral (les autres = fin de mon action pas juste un moyen) Exemple : philanthrope « pas le plus mauvais ouvrage de la nature » Il est respectable d'un point de vue social mais n'est pas de l'ordre de la morale (des intéressé) on ne fait pas cette action pour l'autre mais pour soi Impératif catégorique et impératif hypothétique Impératif catégorique : règles universelles dans sa portée et désintéressé « agit de telle sorte que la maxime de ton action puisse être érigée en tant que loi valant universellement » Loi morale « tu dois » le devoir de respect doit s'imposer de manière catégorique en toute circonstance inconditionnel Impératif hypothétique : règles d'action conditionnée par un but, un intérêt personnel. [...]
[...] Il faut donc supposer, un être parfait qui correspond à cette idée de perfection : DieuCe qui est parfait existe de façon pleine et entière, or Dieu est un être parfait donc il existe nécessairement Ce qui est parfait existe de façon pleine et entière, or Dieu est un être parfait donc il existe nécessairement Opposé à Pascal, pensées (janséniste / jésuites ) Théorie des 3 ordres Ordre du cœur Ordre de la raison Ordre des sens « le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point » Jésuites jansenites Bonne volonté grâce divine = don gratuit Action vertueuse Dieu choisi par avance ceux qu'il va se sauver = grâce divine prédestiné « Dieu est sensible au cœur, non a la raison » Le Pari Pascal, pensée (croyant, janséniste) = petit gain -infini = perte infini = petite perte +infini = gain infini = ni gain ni perte Dieu existe Dieu n'existe pas Vous parier sur l'existence de Dieu Vivant : Mort : +infini Vivant : Mort : Vous parier sur l'inexistence de Dieu Vivant : Mort : -infini Vivant : Mort : Parier sur l'existence de Dieu est infiniment avantageux La liberté dans la foi Locke, lettre sur la tolérance = Hobbes, Léviathan (religion d'État : cohésion sociale) Laïcité Séparer les pouvoirs de l'État du pouvoir religieux : État : pouvoirs publics (s'applique au corps pas sur les esprits) Foi : conviction intime État = religion Pouv temporel pouv spirituel Une religion d'État contredit le libre arbitre et le mérites Locke = religion naturelle véritable (religion que l'on choisit et qui repose sur la liberté du croyant) Pratique la religion dans sa tête (ne pas montrer qu'on a pas la même fois que les autres) L'État n'a pas à se mêler de la foi de ces citoyens et donc de ce qui deumeur privé car il administre l'espace public La laïcité Locke, essaie sur la tolérance Il est contre les signes ostentatoires dans l'espace public (signes appartenance religieuse) Exemple : chapes, surplis . [...]
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