Analyse du texte le léviathan de Thomas Hobbes sur la violence inné chez l'homme
[...] Naît-on ennemi ou le devient-on ? Question d'interprétation : Hobbes « en quoi, selon l'auteur, l'état de guerre serait naturel » Cet extrait du « le Léviathan » (1651) de Thomas Hobbes, établit la thèse que les hommes seraient dans leur nature même, propice à la guerre. Les enjeux rapporté par l'auteur seraient donc que la paix ne serait pas quelque chose de durable entre les hommes et que nous naissions tous ennemis. Thomas Hobbes développe sa thèse en trois parties dans cet extrait, dans le premier paragraphe, il expose le problème qu'il traite : la violence innée chez l'homme pour autrui. [...]
[...] Car la guerre ne consiste pas seulement dans la bataille, ou dans l'acte de se battre, mais dans un espace de temps où la volonté de combattre est suffisamment connue.». L'homme serait donc propice à la guerre, car elle est en elle même le résultat de la violence inné chez l'homme qui ne cherche donc pas la paix, mais une forme de puissance sur les autres; « c'est pourquoi, pour la nature de la guerre, il faut prendre en considération la notion de temps, comme on le fait pour le temps qu'il fait. [...]
[...] La deuxième cause, qui est dans la suite logique de la rivalité, est "la sécurité" l'homme ayant acquis ce qu'il voulait chercher à le protéger, ce qui nous rapproche déjà plus de la vision "actuelle" des raisons que nous avons pour justifier l'existence de guerre. "La réputation" expliquer par l'auteur est une violence plus relâché et spontanée : « le troisième cas, pour des bagatelles, comme un mot, un sourire, une opinion différente, et tout autre signe de sous-estimation, qui atteint soit directement leur personne, soit, indirectement leurs parents, leurs amis, la nation, leur profession, ou leur nom.» Dans le dernier paragraphe, Thomas Hobbes établit sa synthèse, que la guerre ne serait que le saut qualitatif de la violence et son application: «ils sont dans cette condition qu'on appelle guerre, et cette guerre est telle qu'elle est celle de tout homme contre homme. [...]
[...] Dans le premier paragraphe, l'auteur explique que les hommes ne sont naturellement pas fait pour cohabiter ensemble, l'homme serait un loup pour l'homme, les relations entre humains serait donc plutôt basée sur de la peur et un besoin de survie: « les hommes n'ont aucun plaisir à être ensemble». Il établit d'ailleurs le concept de fierté et d'égo qui sera le principale fil conducteur du texte et principale raison de la violence naturelle chez l'homme. « car tout homme escompte que son compagnon l'estime au niveau où il se place lui-même au moindre signe de mépris ou de sous-estimation, il s'efforce . [...]
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