Libre-arbitre, liberté d'action, réflexions, force suprême, destin, fatalisme, lois fondamentales de l'univers, subconscient, fiction et réalité, concept utopique, Dieu, mécanique quantique, dimensions de Planck
Vertueux lecteurs, en cette illustre journée couleur safran, il est au goût de mes papilles, le délice d'un arôme à la saveur indescriptible que le fait d'éclairer de mon savoir naïf, les connaissances de tous ceux qui veulent bien prêter oreille aux paroles aiguisées de lumière qui viennent de ma grande bouche.
L'an de grâce 2019 fut pour moi une année faste. Je m'apprête donc à dévoiler ce que mon oreille indiscrète a capté dans la pénombre. Aussi me suis-je résolu à apporter par la présente, l'expression de ma fidélité à la recherche du savoir absolu.
Le libre-arbitre est un sujet qui suscite chez l'homme tant de réflexion.
[...] En philosophie le fatalisme est une doctrine selon laquelle le cours des événements échappe à l'intelligence et à la volonté humaine, de sorte que la destinée de chacun de nous serait fixée à l'avance par une force absolue et surnaturelle. La mécanique quantique a succédé à la théorie des quanta et à la mécanique ondulatoire pour étudier et décrire les phénomènes fondamentaux à l'œuvre dans les systèmes physiques, plus particulièrement à l'échelle atomique et subatomique. Les dimensions de Planck sont les grandeurs les plus petites concevables de l'univers. [...]
[...] N'est libre ai-je dis, que celui qui donne l'illusion que nous sommes libres. Cet être-là n'est pas humain . Mais qu'en sais-je, moi qui ne suis en fin de compte qu'un simple penseur farfelu perdu aux fins fonds de ce vénérable monde. Pourtant le penseur farfelu que j'étais ne faisait qu'engager sa quête vers la recherche du savoir éternel. Il se considérait comme inspiré par Dieu et s'obstinait à croire que la tâche lui revenait de guider le monde vers la lumière. [...]
[...] Mais alors la grande question : Quel est le sens de la vie ? Je pourrais me permettre, appuyé par mon expérience personnelle de dire que : la vie n'aurait de sens que si elle était éternelle . Il ne sert donc à rien de vivre sur terre si l'on est voué à mourir un jour prématurément. D'autre part, n'est-ce pas la mort qui donne un sens à la vie ? Elle est comparable à l'accomplissement de la mission pour laquelle l'homme naquit sur terre. [...]
[...] La réponse ; notre subconscient prend toujours modèle aux actions des autres. Nous agissons donc tous de la même façon. C'est ce qu'on appelle, le comportement de masse, lequel nous est primitif depuis bien des années. C'est ce même comportement qui a été programmé dans nos cerveaux depuis notre venue sur la planète bleue, pour assurer notre survie. Nous sommes donc préprogrammés et contraints d'agir sous la tutelle du logiciel (subconscient) qui a été installé dans nos cerveaux, faisant de nous des simples ordinateurs ayant très peu d'utilité sans un programme préinstallé. [...]
[...] C'est donc le futur qui donne un sens au passé et l'affecte ainsi par le biais de ce qu'on appelle la mécanique quantique3 . Mais c'est cette mécanique quantique entre les deux qui nous permet de garder l'équilibre de notre brève existence. L'homme, étant très limité, ne perçoit qu'une infime partie de l'univers. Il n'est donc qu'une petite particule biologique inconsciente des éléments qui l'affecte se trouvant à l'échelle de Planck4, ou de son rôle dans la distorsion de l'espace-temps. Aussi se déplace-t-il dans l'espace par le mouvement et dans le temps sans mouvement. [...]
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