violence, justification de la violence, mesure coercitive, Karl Marx, Rousseau, Machiavel
La violence est tout acte ou comportement qui porte atteinte à l'intégrité physique, morale, psychologique, intellectuelle ou spirituelle d'autrui. Cela inclut la coercition par la force ou la menace. Se protéger, c'est se comprendre, se protéger et s'expliquer. Cela nous permet de reformuler le sujet ainsi : les atteintes à l'intégrité d'autrui peuvent-elles être considérées comme légitimes ?
[...] La violence peut-elle être justifiée ? Introduction La violence est tout acte ou comportement qui porte atteinte à l'intégrité physique, morale, psychologique, intellectuelle ou spirituelle d'autrui. Cela inclut la coercition par la force ou la menace. Se protéger, c'est se comprendre, se protéger et s'expliquer. Cela nous permet de reformuler le sujet ainsi : les atteintes à l'intégrité d'autrui peuvent-elles être considérées comme légitimes ? La question de la légalité de la violence est une question à laquelle les penseurs se sont toujours opposés. [...]
[...] Il s'agit donc peut-être d'un recours légitime à la force. Par conséquent, selon Marx, la domination et l'exploitation de la bourgeoisie sont complètement arbitraires et le prolétariat est donc obligé de renverser la bourgeoisie par la révolution et de mettre en œuvre la dictature du prolétariat. De même, pour Rousseau, « le pouvoir a créé les premiers esclaves, et leur bassesse les a perpétués ». C'est pourquoi les « droits du fort » s'appliquent à eux. Ce droit est toutefois facultatif. [...]
[...] En fait, comme nous l'avons vu, la violence est ici traitée comme un usage légitime de la force. Mais la violence n'est jamais justifiée. La violence ne peut pas être justifiée Premièrement, la violence apparaît comme une libération aveugle et cruelle des forces de la nature. Que nous apporte la nature qui nous entoure ? Des forces puissantes peuvent déclencher et provoquer une violence aveugle et brutale. C'est le cas des tremblements de terre, des glissements de terrain, des éruptions volcaniques, des inondations et des ouragans. [...]
[...] Il en va de même pour la violence qui naît de la lutte des classes. Par conséquent, dans les sociétés de classes, les contradictions de classe, les conflits d'intérêts et le désir des forts de contrôler et d'exploiter les faibles conduisent souvent à des luttes, des rébellions et même des révolutions. Le recours arbitraire à la force et son imposition en tant que « droit souverain » peuvent entraîner une violence équivalant à un recours illégal à la force. De même, dans un État injuste, il est injuste de réprimer par la force les manifestations légitimes. [...]
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