Il est extrêmement difficile d'imaginer notre vie adulte lorsqu'on a seulement dix-huit ans. Il y a, entre autres, beaucoup de facteurs à tenir compte. Cependant, je répondrai à la première question, soit une projection de ma vie personnelle et professionnelle selon Rousseau et Nietzsche.
[...] Également, il est aussi important de passer du temps avec sa famille, comme le veut Rousseau. Donc, l'essentiel serait d'avoir une vie professionnelle équilibrée avec une vie personnelle. Supposons que mon métier implique d'habiter dans une ville moyenne comme Québec. Il se peut que j'arrive face à un dilemme moral : celui de me faire offrir le même emploie, largement mieux payer, dans une grande ville. Cependant, ma femme et mes enfants sont obligés de rester à Québec. Face à ce dilemme, je choisirais de déménager seul dans la grande ville, car Nietzsche me dirait que mon métier est mon but et me recommanderait de prendre l'emploi dans la grande ville afin de persévérer dans mon domaine. [...]
[...] De la même façon que je ne crois pas à une seconde chance Si un employé n'atteint pas les objectifs fixés, c'est qu'il n'y a pas sa place dans la firme. Je ne m'abaisse pas au niveau des employés plus lents, de peur qu'il me ralentisse dans ma carrière. Je suis heureux, car je me fixe constamment de nouveaux défis à surpasser. Cela ne me dérange pas de travailler tout les jours de la semaine, car je n'ai pas peur de souffrir si cela me rend heureux. Concertant ma vie personnelle, je n'en ai presque pas. [...]
[...] Je pense que ma vie à la Rousseau est faible et manque d'ambition. En effet, il est difficile de vivre une vie complètement dans le bonheur. Tôt ou tard, des situations difficiles peuvent arriver, comme le divorce de notre femme. Si toute notre vie était centrée sur l'amour de soi, qui selon rousseau est un sentiment naturel qui porte tout animal à veiller sa propre conservation, et qui, dirigé dans l'homme par la raison et modifié par la pitié, produit l'humanité et la vertu,[1] nous ne serons pas habitué à la douleur et la souffrance, ce qui pourrait amener de terribles conséquences. [...]
[...] En conclusion, ce travail a permis de voir les avantages et les désavantages d'une vie selon Rousseau et Nietzsche. J'en ai conclu que la meilleure vie serait un mélange des deux. À propos du dilemme moral, je crois que j'aurais plus tendance à pencher du côté de Nietzsche pour prendre ma décision. Il serait intéressant d'étudier la vie stoïque afin de la comparer à celles-ci mots Jean-Jacques ROUSSEAU, Le Discours sur l'inégalité de Rousseau, paragraphe 207. Friedrich NIETZSCHE, Rencontres d'un inactuels, paragraphe 38. [...]
[...] La vie selon Nietzsche et Rousseau Il est extrêmement difficile d'imaginer notre vie adulte lorsqu'on a seulement dix-huit ans. Il y entre autres, beaucoup de facteurs à tenir compte. Cependant, je répondrai à la première question, soit une projection de ma vie personnelle et professionnelle selon Rousseau et Nietzsche. Ce travail sera composé d'une description de ma vie selon ces deux philosophes, d'une critique de ces deux vies et enfin, une réflexion sur un dilemme moral en fonction de ces deux écoles de pensées. [...]
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