Nous étudierons dans une première partie que la vérité est signe de leurre dans une société démocratique comme la notre (I). Ensuite, il s'avérera important de démontrer par la suite que dans le monde scientifique, la vérité n'est pas un leurre mais une réalité se basant au moyen de preuves scientifiques (II).
[...] Tandis qu'un leurre peut se définir comme étant sur l'on aurait tort de fonder sa pensée. Un leurre est donc l'opposition parfaite de la réalité. La vérité, les philosophes la disent éternelle, une, et inaltérable. Platon, en ce sens, nous enseigne que : « Aussi nombreux que soient les lits et les tables, il n'y a jamais que deux idées, l'une pour le lit, l'autre pour la table. ». Dès lors, suivant cette référence, il y a donc la vérité inaltérable et une de la table ou de l'idée. Mais cette vérité est-elle certaine ? [...]
[...] Le trait relatif de la vérité en tant que leurre. Ce qui était vrai avant ne l'est plus forcément aujourd'hui. En effet, la vérité, en tant que leurre est amenée à progresser au fil de l'écoulement du temps. Dès lors, les données que l'on disposait hier afin d'établir ou de constater la vérité nous entourant, ne l'est peut-être forcément plus aujourd'hui. Finalement, l'on constate que la vérité progresse au gré de l'évolution des données techniques que nous disposons : ainsi le progrès technique fait évoluer la vérité. [...]
[...] Pour Pascal, certaines vérités ne peuvent être démontrées et débouchent à un leurre (les croyances) tandis que d'autres peuvent être démontrées et aboutir à la vérité. C. La preuve matérielle comme l'aboutissement de la vérité. Pour Descartes, on peut démontrer l'existence d'une chose. Mais on ne se contentera pas de vérités formelles. Ce qui manque, ce sont les vérités matérielles. On a besoin de la vérité matérielle au moyen de preuves matérielles. La vérité matérielle s'appuie sur l'expérience « sensible ». Comme Descartes est un mathématicien, il lui suffit de bien raisonner. La science a besoin de l'expérience « sensible ». [...]
[...] N'est-elle pas une tromperie ? Comment s'assurer que la vérité n'est-elle pas qu'un leurre ? Pour se faire, nous étudierons dans une première partie que la vérité est signe de leurre dans une société démocratique comme la notre Ensuite, il s'avérera important de démontrer par la suite que dans le monde scientifique, la vérité n'est pas un leurre mais une réalité se basant au moyen de preuves scientifiques (II). Dans une société démocratique, la vérité n'est que le reflet d'un leurre. [...]
[...] Ce principe est saisi par intuition. UN principe est ce qui est premier et qui commande une démonstration ou gouverne une institution. Démontrer c'est d'aller d'un principe à des conséquences. Le postulat, c'est un principe non évident et non démontrable. Par voie de conséquence, l'on peut dire des mathématiques qu'elles sont hypothético- déductives. Avec ces jeux de l'esprit, on arrive à la vérité, au réel. En ce sens, Einstein nous enseigne que « ce qu'il y a d'incompréhensible, c'est que le monde soit compréhensible ». [...]
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