La notion d'humanité est très récente. Pendant longtemps, on pensait qu'il y avait des hommes qui n'en étaient pas. L'humanité est une notion et non une nature. Cette notion est transmise par le biais de la culture. La culture peut être définie comme la manière dont l'homme se donne et se construit son monde. L'acte humain peut être inhumain dans le sens où l'on parle de barbarie. Cependant, l'acte humain n'est en aucun cas inhumain à partir du moment où l'homme se créée son monde, son histoire et qu'il appartient à une culture, une civilisation, à un monde humain. La question se pose de savoir si un acte humain peut-il être inhumain ? (...)
[...] Un acte humain peut il être inhumain ? La notion d'humanité est très récente. Pendant longtemps, on pensait qu'il y avait des hommes qui n'en étaient pas. L'humanité est une notion et non une nature. Cette notion est transmise par le biais de la culture. La culture peut être définie comme la manière dont l'homme se donne et se construit son monde. L'acte humain peut être inhumain dans le sens où l'on parle de barbarie. Cependant, l'acte humain n'est en aucun cas inhumain à partir du moment où l'homme se créée son monde, son histoire et qu'il appartient à une culture, une civilisation, à un monde humain. [...]
[...] L'être humain se construit son histoire, son éducation grâce aux décisions qu'il prend. L'homme est un citoyen différent du sauvage de la nature. Il pense et agit par lui-même grâce à sa culture, son éducation. Ainsi l'acte humain de l'homme est nullement inhumain puisque c'est lui qui décide de ses actes. L'homme se transforme lui-même. C'est par son éducation, par sa transmission de savoirs, de croyances, de coutumes que les hommes apprennent et prennent des décisions. C'est à partir de là qu'ils sont des hommes appartenant au monde humain. [...]
[...] Donc son acte peut être inhumain. En outre, le barbare au sens de celui qui croit qu'il n'y a des hommes qui n'en sont pas, ne respecte pas non plus l'homme. Celui ci est ethnocentrique. Il pense que sa culture est la seule. Il y a un regret de la diversité culturelle. II. L'humanité de l'homme en son œuvre propre : Le concept de culture apparaît en 1871 avec la première définition de Tylor qui dit que la culture ou la civilisation, pris au sens ethnographique le plus large, est cet ensemble complexe incluant les savoirs et les croyances politiques, l'art, les mœurs, le droit, les coutumes ainsi que toutes autres dispositions ou usages appris par l'homme Le monde humain peut être défini par la manière dont l(homme se donne son mode et se le construit. [...]
[...] L'humanité comme nature : Lorsque l'on parle de barbarie, l'acte humain peut être inhumain. Le sens premier du mot barbare est celui donné par les grecs. Le barbare n'est pas réellement un homme, c'est un sauvage ou un homme de la nature. C'est un homme qui ne sait pas parler, donc qui n'a pas de culture, puisqu'il ne peut pas transmettre ou hériter d'un savoir. C'est celui qui est voué à la nature, qui n'a pas de règles, c'est presque comme un animal ayant l'apparence d'un humain. [...]
[...] En effet, un homme qui a commis un meurtre peut se voir qualifier de sauvage. Celui-ci peut être cultivé puisqu'il a appris des choses, mais il ne se conforme pas aux règles du monde humain. De plus, des criminels de guerre nazis qui ont étaient jugés pour des crimes contre l'humanité représentent le deuxième sens du mot barbare. Ces derniers pensaient que les juifs étaient une race inférieure. En réalité, c'est eux-mêmes qui étaient des barbares. Ils croyaient en effet à la barbarie. [...]
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