Le travail est désormais une valeur centrale dans notre société. Le travail procure un statut social qui valorise l'individu et l'intègre. Aujourd'hui, ne pas travailler peut-être un facteur d'exclusion et donc source de mal-être pour l'individu. Alors qu'autrefois ne pas travailler était un signe de richesse. Dans les pays où l'on travaille beaucoup les arrêts maladie ou d'accident sont les plus fréquents.
Travailler moins serait-il la source d'une existence meilleure ? Mais si ne pas travailler est source d'exclusion, ne faudrait-il pas travailler plus ?
[...] Celui ne détenant pas le capital doit vendre sa force de travail pour survivre en échange on lui donne un salaire ; le montant du salaire est basé sur ce qu'il a besoin d'acquérir pour permettre sa survie. Dans ce type de travail, l'homme dispose donc d'un faible salaire et peu de temps libre. De plus, l'homme est totalement dessaisi de son travail. L'ouvrier n'a aucun droit d'éprouver de la joie vis-à-vis de ce qu'il créait. Au contraire, il doit en éprouver un désintérêt et dégout. L'ouvrier ne pouvant pas se retrouver dans ce qu'il produit, il va se reconnaître lui-même dans ses loisirs. [...]
[...] Ainsi en travaillant plus les salariés voient leur pouvoir d'achat augmenter. Ils pourront alors augmenter leurs niveaux de vie et améliorer leurs conditions de vie. L'homme pourra alors mieux vivre grâce à l'acquisition de biens supplémentaires et l'élévation de ses conditions de vie. Nous pouvons donc conclure en disant que l'homme a besoin de s'épanouir en dehors de son travail et dans la sphère de son travail. Il a besoin de temps libre pour améliorer son existence et donc pour mieux vivre. [...]
[...] Travailler moins est-ce mieux vivre ? Le travail est désormais une valeur centrale dans notre société. Le travail procure un statut social qui valorise l'individu et l'intègre. Aujourd'hui, ne pas travailler peut-être un facteur d'exclusion et donc source de mal- être pour l'individu. Alors qu'autrefois ne pas travailler était un signe de richesse. Dans les pays où l'on travaille beaucoup les arrêts maladie ou d'accident sont les plus fréquents donc travailler moins peut-il être source d'une existence meilleure ? Mais si ne pas travailler est source d'exclusion ne faudrait-il pas travailler plus ? [...]
[...] Ce temps libre permet à l'homme de s'épanouir, de s'investir dans une profonde réflexion et méditation, mais également dans l'action politique et la création artistique. Travailler moins permettrait à l'homme d'exercer toutes ces activités et donc d'éviter l'abrutissement des individus et d'accroître leurs capacités intellectuelles. Nous pouvons donc dire que mieux vivre peut passer par une baisse du temps de travail qui permet d'avoir davantage de temps libre donc l'homme peut se retrouver lui-même et s'épanouir. Mais nous allons voir que nous pouvons vivre mieux en travaillant autant ou plus. [...]
[...] En effet, il voit le travail comme une notion centrale. Il pense que l'homme n'est homme que par le travail qui le rend maître de la nature, mais aussi de lui ? Il voit le travail comme source d'extériorisation ou d'une objectivation de soi. En effet dans la nature maitrisée par le travail, l'homme se reconnaît et s'affirme. Depuis ces dernières années, la France a connu des baisses des heures de travail or les partis politiques prônent l'augmentation des heures travaillées afin de gagner plus. [...]
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