En travaillant, l'Homme tente de satisfaire ses besoins et ses envies, mais le travail implique le labeur face à la tâche, c'est-à-dire la voie de la difficulté, qui nécessite entre autres, du courage, de l'énergie, et du temps, autrement dit des moments de la vie que l'Homme aurait pu utiliser à d'autres choses. Le travail permet néanmoins d'acquérir un savoir-faire, des connaissances et des capacités nouvelles afin de se satisfaire plus rapidement, ce qui représente un gain de temps considérable. Pourtant, en travaillant le moins possible, on évite un grand nombre des inconvénients de ce labeur, et on perd moins de temps.
[...] En outre, le travail s'impose aujourd'hui dans les esprits et peut même perturber l'Homme pendant son repos : il est amené à se demander s'il a assez travaillé pour se permettre telle ou telle chose, s'il ne devrait pas effectuer un acte précis afin de transformer sa carrière etc. Le travail empêche l'Homme En faisant fasse au labeur, l'Homme se fatigue. De facto, il est incapable de s'adonner pleinement à des activités de loisir et de détente alors même qu'il est chez lui. Le travailleur n'a parfois pas toujours assez d'énergie pour effectuer ce qu'il veut faire pour améliorer sa condition. Ainsi, le travail lui fait perdre du temps de relaxation. [...]
[...] Le travail fonctionne à double- sens : quand l'Homme donne, il reçoit un retour. L'expérience, qui se forge dans le travail, permet un gain de temps Le travail de l'Homme lui permet de se construire intérieurement, il devient plus réfléchi que l'enfant qui n'a pas encore beaucoup travaillé, raisonne plus et appréhende mieux le monde, ce qui lui permet de prendre les bonnes décisions, celles qui lui permettrons de progresser, d'améliorer ses conditions de vie et de gagner du temps, qui n'est pas perdu en longs questionnements quant aux bons choix à effectuer. [...]
[...] Il rend alors possible sa progression et son évolution afin de dynamiser le monde, de le rendre plus rapide et où le gain de temps est important en dépit du temps passé à l'ouvrage. Néanmoins, certaines personnes refusent la nécessité qu'est le travail à proprement parler et gagnent en effet ce temps de labeur, mais, au-delà de la privation de biens et de services engendrée par cette attitude, ces personnes perdent du temps en tentant de trouver des moyens pour survivre, ce qui est en soit une tâche à effectuer, donc un travail. Le travail est donc une perte de temps, qui, habilement menée, est à l'origine d'un gain de temps considérable. [...]
[...] Travailler semble alors un mécanisme d'échanges équilibrés : plus l'homme a passé du temps à travailler, plus le travail lui donne. II) Le travail donne à l'Homme des outils qui lui permettent de gagner du temps. En travaillant, l'Homme apprend Que ce soit l'artisan ou le penseur, plus l'Homme travaille, plus il progresse, se perfectionne. Les tâches à effectuer lui semblent plus faciles et s'effectuent plus rapidement, le temps perdu à apprendre est regagné. De plus, l'homme peut former un savoir tout en exerçant le sien. [...]
[...] Travailler, est-ce perdre son temps ? En travaillant, l'Homme tente de satisfaire ses besoins et ses envies, mais le travail implique le labeur face à la tâche, c'est-à-dire la voie de la difficulté, qui nécessite entre autres, du courage, de l'énergie, et du temps, autrement dit des moments de la vie que l'Homme aurait pu utiliser à d'autres choses. Le travail permet néanmoins d'acquérir un savoir-faire, des connaissances et des capacités nouvelles afin de se satisfaire plus rapidement, ce qui représente un gain de temps considérable. [...]
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