Marx percevait le travail comme une aliénation, ou plutôt comme un fait qui aliène l'homme (du moins le travail salarié dans un système capitaliste). Mais nous ne pouvons nier que le travail est une nécessité pour l'homme ; il rythme son existence et le force parfois à adopter une conduite différente de son être.
Aussi, nous sommes amenés à nous poser la question de la cause de notre travail ; dans quel but exerçons-nous cette tâche, qu'elle soit intellectuelle ou manuelle ? (...)
[...] Dans quelles perspectives travaillerait-elle ? Même si nous travaillons en partie pour notre satisfaction personnelle, il est indéniable que nous travaillons aussi pour faire progresser la société, les sciences en effet, nous exerçons une action dans le but de créer, d'aboutir à un résultat qui ensuite par des échanges entre les hommes, formera une sorte de lien, donnant naissance à de nouveaux rapports où nous sommes à la recherche de l'amélioration de la condition humaine. La communication, par exemple, permet cet échange et permet aussi d'enseigner mutuellement ce dont nous sommes capables. [...]
[...] Pourquoi travaille-t-on ? Introduction Marx percevait le travail comme une aliénation, ou plutôt comme un fait qui aliène l'homme (du moins le travail salarié dans un système capitaliste). Mais nous ne pouvons nier que le travail est une nécessité pour l'homme ; il rythme son existence et le force parfois à adopter une conduite différente de son être. Aussi, nous sommes amenés à nous poser la question de la cause de notre travail ; dans quel but exerçons-nous cette tâche, qu'elle soit intellectuelle ou manuelle ? [...]
[...] En effet, c'est grâce au travail que l'homme se rend compte de la valeur des choses. Il sait par exemple la valeur de ce qu'il vient de faire avec tant de mal, mais il va aussi pouvoir en profiter d'autant plus qu'il sait la source de son travail. L'homme travaille donc pour sa satisfaction personnelle, car si tous ses désirs lui venaient sans effort, il ne reconnaîtrait plus alors la difficulté des choses et leur juste valeur. Il rechercherait dès lors à affirmer sa puissance et à en vouloir toujours plus ; il serait enfermé dans un cercle vicieux d'où il ne pourrait se sortir. [...]
[...] C'est grâce au travail, qu'il a pu écrire son histoire. En effet, on été reconnus les hommes qui ont laissé quelque chose derrière eux, qui ont trouvé par le fruit de leur travail et leur acharnement des solutions à des problèmes communs. Aussi, ce désir de reconnaissance, l'homme l'a profondément ancré en lui. Il ne peut vivre en ermite, il a besoin d'Autrui pour qu'il le reconnaisse comme homme et qu'il lui permette alors de fonder et d'appartenir à une société. [...]
[...] Dans le sens inverse, si nous prenons l'exemple de ceux qui ne travaillent pas. Il n'est pas question de ceux qui cherchent mais ne trouvent pas d'emploi, mais de ceux qui ne veulent pas chercher et restent passifs. Nous pouvons affirmer qu'ils sont dépendants de la société, et ils perdent donc une partie de leur liberté. Concrètement, ils perdent la valeur des choses et deviennent quelque peu des parasites, étant donné qu'ils nuisent à la prospérité de la société. Il en est de même pour ceux qui volent, c'est peut-être simple de prendre par effraction, mais ils ne savent pas le plaisir que l'on a lorsque l'on économise pour l'achat d'un objet. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture