L'enjeu de ces 2 sujets, c'est la définition même du travail, par exemple, si on définit le travail comme un moyen de satisfaire nos besoins, la différence avec les animaux n'existent plus mais l'essence du travail se réduit –elle à ce cycle de production, consommation. Le travail, pour nécessaire qu'il soit n'est-il pas avant tout une dimension de l'homme.
[...] Le travail est le propre de l'homme ? L'enjeu de ces 2 sujets, c'est la définition même du travail, par exemple, si on définit le travail comme un moyen de satisfaire nos besoins, la différence avec les animaux n'existent plus mais l'essence du travail se réduit –elle à ce cycle de production, consommation. Le travail, pour nécessaire qu'il soit n'est-il pas avant tout une dimension de l'homme. Polyvalence du mot travail Le mot travail s'applique à tellement de possibilités qu'on finit par demander s'il signifie encore quelque chose de précis. [...]
[...] L'ouvrier perd le contrôle du produit de son travail ainsi que toute indicative dans le processus de fabrication alors que l'artisan parcourt toute la série des opérations. Cette parcellisation des tâches a pour conséquence la disparation du travail artisanale, la déqualification de la force de travail (ensemble des compétences que l'ouvrier va vendre à son patron pour avoir un salaire) et la dégradation de l'ouvrier lui-même en tant qu'homme, Marx parlera alors du travailleur parcellaire Machinisme Tous ces aspects de l'aliénation de la manufacture se trouvent renforcé avec le machinisme. [...]
[...] III- Le travail comme autoproduction de l'homme E. Mounier Tout travail travaille à faire un homme en même temps qu'un objet Le travail est certes un moyen de survivre mais cette définition est réductrice car c'est négligé que le travail puisse constituer l'essence de l'homme. Le travail apparait comme une activité consciente, réfléchis, volontaire et cet ainsi que l'homme se représente à l'avance ce qu'il va faire par opposition aux pratiques instinctives des animaux. Parce que il n'est pas instinctif, ce travaille requiert de la volonté et de la tension qu'il contribue à développer en retour. [...]
[...] Il doit pouvoir montrer à autrui qu'il n'est pas soumis à l'instinct de survie de l'animal. Cette démarche présuppose et expose notre liberté au regard de l'autre. Cela va passer par une prise de risque de notre vie. Cédèrent autrui vit le même désir. Ainsi, l'homme va amorcer une lutte à mort de la conscience s pr la reconnaissance. Celui qui va céder le 1er sera celui qui sera le + attaché à la vie donc il se montre humain que celui qui a pris des risques. [...]
[...] Il perd sa liberté et devient l'esclave du gagnant. Au cœur de chaque relation humaine se niche ce conflit + ou latent. Le perdant devient esclave. L'esclave en accomplissant toutes les corvées, en voulant répondre au désir du maître, apprend à domestiquer la nature, avec des technique et ainsi acquiert des qualités/compétences qui le rendent relativement indépendant. S'opère ainsi un renversement le maitre devient dépendant de l'esclave qui par son travail à gagne en indépendance. [...]
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