Le travail est un choix, on travaille depuis l'enfance pour arriver à un travail qui satisfait et qui satisfera pendant toute une vie. Pourtant, on peut remarquer que le choix n'est pas si évident que cela, le terme est ambigu : le choix du métier n'est pas toujours faisable et souvent, la passion qui demeurait au départ d'une carrière diminue au fil des années. Le métier lasse, exaspère voire dégoûte même si cette situation concerne une infime partie des travailleurs ayant choisi leur métier.
"Le choix n'est-il que servitude ?". On peut se poser la question puisque l'esclavage et le travail forcé ont existé. Toutes proportions gardées puisque ces deux choses sont différentes du travail, on peut tout de même se demander pourquoi travailler, mais aussi pour qui, pour nous même, pour un patron, pour un syndicat ou encore par nécessité sans envie expressive de travailler ?
[...] En effet, l'Homme confronté au labeur se sent souvent obligé de dire ‘C'est de l'esclavage' ou encore que ‘C'est fatigant' pourtant l'esclavage au propre sens du terme n'est pas cela du tout, c'est plutôt l'obligation de faire quelque chose que l'on ne souhaite pas voire même qu'on refuse totalement mais que l'on fait sous la contrainte, la menace. Le travail a un côté facultatif puisque l'Homme choisit de travailler tous les jours. Après l'enfant qui a étudié, l'adulte se considérera comme esclave au travail dans les mondes ouvriers comme dans les entreprises ou encore même dans le service public ; L'employé se dira par exemple au service de son patron et le fonctionnaire au service de l'État. [...]
[...] Dans le cas de la nécessité du travail, ce dernier serait plus considéré comme une servitude de soi même pour arriver à la vie confortable et ainsi, on devient ‘esclave de son propre métier' et on finit quelquefois par reconnaître soi-même que travail n'est que servitude Le travail a donc une fonction difficile à analyser ; on pourra croire que le travail diverti, passionne, dégoûte ou même tue par exemple le travail forcé dans les camps de concentration n'était que servitude et ont tué des millions de personnes Le travail dépend donc aussi de la personnalité des personnes qui choisissent leur propre voie ou encore s'ils sont faits pour le travail en question ou pas. Cependant le terme de servitude est sûrement différent pour chaque cas, elle peut être servitude par rapport à soir, à un gouvernement ou encore à un patron. Mais nous ne pouvons cependant pas affirmer que le travail n'est que servitude. [...]
[...] Le travail n'est-il que servitude ? Le travail est un choix, on travaille depuis l'enfance pour arriver à un travail qui satisfait et qui satisfera pendant toute une vie. Pourtant, on peut remarquer que le choix n'est pas si évident que cela, le terme est ambigu : le choix du métier n'est pas toujours faisable et souvent, la passion qui demeurait au départ d'une carrière diminue au fil des années ; le métier lasse, exaspère voir même dégoûte même si cette situation concerne une infime partie des travailleurs ayant choisi leur métier. [...]
[...] Le problème posé est que dans ces derniers temps et de plus en plus dans la société, le travail apparaît plus comme une nécessité qu'une servitude. En effet la société actuelle impose dans les consciences la combinaison travail / salaire ou encore argent. Ainsi aujourd'hui celui qui veut travailler ne le fait pas par simple passion mais souvent pour son intérêt et ainsi pour pouvoir vivre correctement. On peut prendre l'exemple des artistes qui ne sont pas assez rémunérés pour le travail fourni, pour leurs métiers pourtant nécessaires dans la société, dans la vie quotidienne. [...]
[...] Ainsi, si l'on travaille pour son propre plaisir et pour soi, le travail peut vite devenir une passion et sera complètement le contraire d'une servitude puisque c'est un travail ‘pour soi'. Pourtant la passion n'est pas ce qui revient le plus quand on parle de métier ou de travail en général. On peut voir notamment dans la plupart des médias que les Hommes choisissent des métiers par défaut prenant ce qu'ils trouvent plutôt que par passion puisque soit ils n'ont pas la formation requise, soit il n'y a plus de place dans leur domaine de formation. [...]
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