Ennius, Cicéron, existence d'une société de genre humain, communauté, société des hommes, lien social, partage des biens spirituels, droit à la propriété
La conservation et l'unité des sociétés humaine sont difficiles à garantir. En effet, les conflits violents comme les guerres au cours du temps permettent d'expliquer cette difficulté.
Cicéron tente d'expliquer dans le Traité des devoirs (- 44 av. J.-C.) quelles sont les conditions nécessaires pour obtenir au sein des sociétés une vie sociale harmonieuse et durable. C'est alors qu'il exprime l'idée d'une sociabilité naturelle entre les hommes, qui s'étend pour englober l'humanité entière.
[...] J.-C.) - Comment Cicéron parvient-il à justifier l'existence d'une société du genre humain ? La conservation et l'unité des sociétés humaine sont difficiles à garantir. En effet, les conflits violents comme les guerres au cours du temps permettent d'expliquer cette difficulté. Cicéron tente d'expliquer dans le Traité des devoirs 44 av. J.-C.) quelles sont les conditions nécessaires pour obtenir au sein des sociétés une vie sociale harmonieuse et durable. C'est alors qu'il exprime l'idée d'une sociabilité naturelle entre les hommes, qui s'étend pour englober l'humanité entière. [...]
[...] Cette distinction fait de l'Homme un genre à part entière, le « genre humain », universel, reposant sur une même nature, quelles que soient les différentes ethniques, religieuses et culturelles. D'après Cicéron, malgré tout ce qui peut séparer les Hommes entre eux au niveau de la langue, des croyances, etc. ils peuvent se faire comprendre grâce au langage qui utilise la raison pour que l'Homme s'exprime. B. Ces facultés différencient l'homme de l'animal Contrairement aux animaux, par le dialogue, mais aussi la réflexion, il est donné à l'homme de pouvoir acquérir certaines vertus. [...]
[...] Ces vertus montrent la présence de bienveillance en l'Homme. Ce qui fonde la société, ce sont les vertus encourageant la solidarité et la justice. Ainsi l'homme est capable de partager, rendre ce qui est dû, etc. III. Le principe de l'amitié au fondement du lien social A. Une « société ouverte » cosmopolite et communiste dans ses principes Une autre condition permet d'assurer l'universalité des sociétés humaine : celles-ci doivent être « ouvertes » aux autres (l.9). Cicéron montre alors que cette société est plus importante, car elle est déjà dans la nature de l'Homme. [...]
[...] Ainsi, si tous les hommes se considéraient comme amis naturellement, il y aurait solidarité et justice au sein des sociétés et tout le monde aurait le nécessaire. C. Le partage des biens spirituels Les connaissances et la réflexion, issue de la raison, sont des biens spirituels communs aux hommes. Cicéron cite Ennius pour symboliser le partage à l'aide de la métaphore du flambeau. Mais la thèse de Cicéron semble un peu trop optimiste. En effet, elle se fonde par rapport à l'idéal du genre humain : si la bienveillance était naturelle, tous les hommes se respecteraient naturellement, ils vivraient en harmonie sans violence. [...]
[...] La bienveillance comme fondement de la vie en société D'après Cicéron, le lien naturel entre les hommes, source d'une société, est la bienveillance. C'est une qualité morale qui assurerait l'union entre individus. Les Hommes disposent ainsi d'un esprit de compréhension et d'indulgence envers autrui. Mais cette origine naturelle est limitée. Cicéron écrit à la ligne 2 « ceux avec qui on a une union plus étroite ». Donc elle s'établit principalement entre les hommes qui s'apprécient et qui sont proches l'un de l'autre comme la famille, les amis. [...]
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