liberté, autre, autrui, Philippe Fragione, Geoffroy Mussard, Dieudonné, philosophie, dissertation
« La liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres », on entend souvent cette expression à la radio ou à la télévision. Ici, il est dit que ma liberté admet une limite au moment où j'empiète sur celle d'un autre. Mais la liberté des autres me concerne-t-elle ?
À première vue, je suis concerné par la liberté des autres, car nous vivons en communauté et c'est justement une mise en commun, l'union des individus et l'organisation de la communauté qui fait sa force ; nous exerçons donc une liberté commune.
Pourtant, l'individu n'est pas obligé de lier sa liberté à autrui, car autrui pourrait être une contrainte aux désirs qui interviendrait dans sa liberté personnelle.
[...] Peut-on quand même vivre sa liberté avec autrui ? Comme nous l'avons vu précédemment, ma liberté et celle de l'autre doivent être séparées pour pouvoir vivre sans contrainte. Or comme le dirait Geoffroy Mussard aussi appelé Shurik'N dans L.E.F : liberté de l'autre est trop grande, la mienne disparaît ». Le proverbe d'origine est : liberté s'arrête là où celle de l'autre commence. » Sauf que pour Shurik'N, la liberté de l'autre est tellement grande que la sienne en est étouffée, pour tuer. [...]
[...] S'il ne faut donc pas entrer dans la liberté d'autrui, autrui ne doit donc pas entrer dans ma liberté non plus. Sa liberté s'arrête là où commence la mienne et inverse. La liberté sera donc comme une barrière intime à nos convictions. Cette barrière franchit, on ne pourrait donc plus parler de liberté puisqu'elle serait contrainte à autrui qui interviendra dans mes choix. On peut appuyer ce point de notre argumentation avec cette citation de Gaëlino M'Bani aussi appelé Lino dans suicide commercial : liberté d'expression s'arrête aux portes de la Main D'or ». [...]
[...] Bien entendu, comme le dirait Élie Yaffa aussi appelé Booba dans 92i Veyron n'as même pas de quoi me faire fumer, qu'est-ce que je vais faire avec il n'y a aucune raison de se lier à la liberté d'autrui s'il n'y a aucun intérêt personnel. Mais a-t-on un réel intérêt à ne pas entrer dans la liberté d'autrui ? II. Je ne suis pas concerné par la liberté des autres Il vaut mieux éviter de s'intéresser à la liberté d'autrui, car être concerné par la liberté d'un autre, s'est entrer dans une liberté qui n'est pas la nôtre et peut être même sans l'accord d'autrui. J'empiéterai donc sur une vie qui n'est pas censée être animée par mes désirs. [...]
[...] Puis nous regarderons s'il y a un réel intérêt à ne pas s'intéresser à la liberté des autres. Et pour finir, nous verrons s'il est possible de vivre sa liberté pleinement avec autrui. I. Je suis concerné par la liberté des autres : Il vaut mieux partager sa liberté avec autrui, car nous vivons en communauté et faisons partie de cette communauté, nous devons mettre en commun nous idées pour mieux avancer dans la quête de nos désirs. Ici, la liberté serait une force que l'on obtiendrait par union dans un but bien précis. [...]
[...] Ici, Akhenaton dit que ce sont les soldats qui portent la notion de liberté dans le monde d'aujourd'hui. On note l'opposition vent/soldat : il ne souffle plus un vent de liberté sur le monde. On peut considérer que ces soldats empiètent sur la liberté du peuple sans autorisation. Mais cette action est paradoxale et contre-productive. Elle agit dans le sens du proverbe latin tu veux la paix, prépare la une idéologie qui n'a jamais prouvé son efficacité au cours de l'Histoire, et qui n'a l'air d'être en aucun cas la solution. [...]
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