Liberté, Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, condition du plaisir, satisfaction, réalisation des désirs, Descartes, notion de libre arbitre, Calliclès, passions incontrôlées, inconscient collectif, Rousseau, déterminisme, principe de l'action, Lafcadio, absurdité, anarchie, obéissance, Hobbes, loi du plus fort, Durkheim, ordre caché, Socrate, prisme de la raison, Sartre, moralité, discipline, Spinoza, Epictète, esclavage intérieur, concept de responsabilité, prévision des conséquences, règles de la démocratie
La liberté, dans un sens, c'est quand mes désirs et mes volontés sont sans restriction. En termes positifs, la liberté signifie faire ce que l'on désire. C'est d'ailleurs ce qui semble être indiqué ici avec la mention «suffit-il» qui sous-entend que c'est la seule condition nécessaire, que cela permet de contenter l'hypothèse et qu'il n'y a pas besoin de plus.
Cependant, la plupart de nos désirs nous sont imposés. Les satisfaire, c'est ne pas se battre, leur obéir, et donc être leur esclave. Alors, la liberté vient-elle de l'accomplissement de tous ses désirs ou, au contraire, est-elle menacée par la pleine satisfaction?
[...] Il nécessite donc une application concrète pour prendre totalement forme. En effet, si la liberté consiste à agir selon sa volonté sans contrainte extérieure, alors il est naturel de penser que pouvoir satisfaire tous ses désirs est synonyme de liberté. Cependant, la plupart de nos désirs nous sont imposés. Les satisfaire, c'est ne pas se battre, leur obéir, et donc être leur esclave. Alors, la liberté vient-elle de l'accomplissement de tous ses désirs ou, au contraire, est-elle menacée par la pleine satisfaction ? [...]
[...] La liberté, c'est de ne faire que ce que je veux, de comprendre que le désir n'est pas un ordre de l'ego. Alors il sera libre, il saura résister à la puissance de ses désirs, et sera disposé à suivre les justes commandements de la raison, c'est-à-dire à agir conformément au devoir moral ; et par allégeance à lui-même, celui qui accepte d'obéir aux lois de son propre vote sera libre. Si nous regardons notre société, nous nous rendrons compte que nous considérons que la plupart des gens sont libres de choisir. [...]
[...] Cela signifie que la liberté est inhérente à la condition humaine et que, par conséquent, l'homme est absolument responsable de l'usage qu'il en fait. De même, pour Schopenhauer, la liberté de l'homme dépend de motifs extérieurs qui l'entraînent ainsi que de son moi. C'est son essence qui le détermine et le pousse à agir de telle manière. En outre, la prétention socratique à la connaissance est une prétention à la liberté. Socrate se rend compte que la connaissance est une condition de la liberté et que l'ignorance asservit : elle nous rend dépendants, elle nous lie inévitablement à quelque chose ou à quelqu'un. [...]
[...] Suffit-il de faire ce qu'on désire pour être libre ? La Déclaration des droits de l'homme et du citoyen reconnaît en 1789 que tous les hommes naissent libres et égaux en droit. Le mot liberté est un mot reconnu et fraternel, qui rassemble et qui unit. C'est pour cela que les gens se sont battus et se sont sacrifiés pendant des siècles. La liberté, dans un sens, c'est quand mes désirs et mes volontés sont sans restriction. En termes positifs, la liberté signifie faire ce que l'on désire. [...]
[...] Par conséquent, les dirigeants doivent user et abuser de cette liberté. Mais comme tout le monde ne peut pas suivre ses désirs à sa guise, alors les passions incontrôlées et la liberté totale sont une mauvaise chose dans l'inconscient collectif. Ce n'est qu'un manque de courage de blâmer le complètement et complètement libre pour lui. Être libre c'est se libérer des contraintes Pour Rousseau, la liberté ne dépend que de soi et ne peut être subordonnée aux conditions d'un autre homme. [...]
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