Notre histoire, celle de l?être humain, nous apprend qu'au fil du temps, l'homme qui n'était qu'un être insignifiant au départ a évolué et s'est doté d'une grande raison. Cette raison qui occupe notre esprit et qui nous guide à travers notre évolution ne cesse de changer et transforme ainsi notre façon de penser et d'agir. Nous savons tous que c'est l'évolution naturelle de notre espèce qui a développé nos connaissances et qui par le fait même, nous a permis de prospérer et de dominer toutes les autres espèces animales sur la Terre. Cette domination est représentée par le développement de nouvelles technologies des plus simples (le feu) au plus complexes (les ordinateurs).
Avec ce genre d'avancée technologique qui évolue dans tous les domaines tel que la médecine, nous sommes capables de guérir toutes sortes de maladies de nos confrères. Cela passant d'un simple Tylenol à la grande découverte d'un antibiotique que l'on nomme aujourd'hui la pénicilline. De ce fait, la médecine est devenue de plus en plus complexe et nécessite des tests de laboratoire les plus poussés. D'un autre côté, n'oublions pas que la grande intelligence de l'homme peut aussi devenir une grande ennemie de celui-ci. Bien entendu, c'est avec une telle connaissance que l'homme a transformé par mégarde la finalité de sa raison changeant ainsi sa façon de penser.
En effet, il n'est plus question de se servir de notre raison pour attribuer le plus de bonheur possible autour de soi puisque le profit et l'argent sont maintenant devenus notre préoccupation ultime. Bien sûr, les possibilités ne manquent pas lorsqu'on a de l'argent. C'est à partir de ce genre de raisonnement que certains ont vu juste de créer de nouveaux produits pour combler nos besoins secondaires. Un de ces besoins que nous allons discuter dans ce texte se situe dans le domaine du cosmétique, plus précisément, les produits de beauté. Le point commun qui réside entre le domaine de la médecine et du cosmétique est éventuellement la méthode de conception des produits qui s'y rattachent (...)
[...] Les tests en laboratoires avec les animaux forment bien sûr un sujet controversé. L'analyse de ce sujet avec l'éthique nous a permis de prendre conscience qu'il y a un problème. Pour tous ceux qui pensent que l'homme est totalement immoral en ne cessant pas les tests sur les animaux, ces gens devraient regarder au‐delà du problème. En effet, nous savons que l'homme est doté de raison, de conscience et de sentiments. C'est grâce à tout cela que nous sommes capables de raisonner et d'agir de façon morale. [...]
[...] Un être inférieur de plus ou de moins ne devrait certainement pas changer grand‐chose. Une partie des gens penseront donc qu'il est normal et même très juste d'utiliser ces animaux comme moyens afin d'accomplir des tests sur ceux‐ci. Effectivement, tout cela nous permettra 4 de faire avancer plus rapidement la science et ainsi créer des médicaments et des produits de cosmétiques plus performants et sécuritaires de jour en jour même si ces tests paraissent atroces. Ce genre de penser nous pousse à considérer la question suivante : Est‐ce que les animaux souffrent ? [...]
[...] Tout cela pour dire que nous ne sommes pas les seuls à avoir une conscience ou des sentiments. Rappelons‐nous d'abord nos origines. Nous aussi, nous sommes des animaux à proprement dit. C'est peut‐être grâce à ce respect de nos ancêtres que nous pensions qu'il est immoral de faire du mal aux animaux. En fait, c'est aussi cette conscience du mal que nous avons en quelque sorte un certain devoir d'avoir recours aux méthodes alternatives qui pourraient dans un futur proche, éliminer les tests en laboratoire sur les animaux. [...]
[...] Il faut donc considérer ces animaux et promouvoir leur bien le plus possible et de considérer les conséquences qui leur sont attribuées. Dans le cas des tests en laboratoire, nous voyons clairement qu'on diminue de façon considérable le plaisir des animaux en question. On ne fait pas que de réduire le bien de l'animal, mais on empêche même la possibilité d'augmenter le plaisir. Comme mentionné plus haut, une fois que les tests ont commencé, l'animal est voué à mourir. De plus, si le sujet n'est plus utilisable parce que celui‐ci est trop malade, on l'incinère et la question est résolue. [...]
[...] On exige même une meilleure condition de vie chez les animaux. En fait, en étant conscients du mal que l'on fait à ces êtres, les chercheurs tentent de plus en plus de trouver des alternatives. Oui, ça existe ! Plusieurs d'entre eux utilisent maintenant des souches de cellules animales ou végétales afin de faire les mêmes expériences que sur des animaux. Des méthodes in vitro sont maintenant utilisées et on a même recours à la simulation informatique pour faire des 13 expériences. [...]
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