science, philosophie du non, théorie de l'héliocentrisme, Copernic, Galilée, Épicure, esprit critique scientifique, positivisme, Neurobiologistes, Robert Boyle
Du 17e siècle au 21e siècle, qu'est-ce qui vous paraît, parmi savant et courant de scientifiques, illustrer la définition de la science comme une « philosophie du non » ?
Depuis plusieurs siècles, la vision de la science a évolué, on voit apparaître « la philosophie du non » visant à aller à l'encontre de la pensée commune, mais peut- on l'illustrer ?
Dès le seizième siècle, les scientifiques vont à l'encontre de la pensée commune et notamment à l'encontre de l'église. En effet, avec la théorie de l'héliocentrisme énoncée d'abord par Copernic puis reprise par Galilée, toutes les visions de l'époque ont été bousculées.
[...] En effet, selon lui, l'Homme a grandi en trois phases on appelle cela La loi des trois états relative à la vie. L'âge adulte serait alors l'explication de ce que l'on ne connaît pas par la science ce qui bien sûr va à l'encontre des idées reçues de l'époque. Par ailleurs le positivisme est l'idéalisation de la science et cela ne plaît pas à tout le monde. Pour finir, au vingtième et au vingt-et-unième siècle apparaît un courant de pensée que l'on appelle les Neurobiologistes. Ils remettent en cause l'âme et le corps. [...]
[...] A cette époque, apparaît également le célèbre mouvement intellectuel des Lumières, il invite à penser par soi même et dépasser l'obscurantisme afin de s'opposer à l'Église et l'État. Il invite à la connaissance et au questionnement quelque en soit le prix. Ce mouvement est à l'origine de l'esprit critique scientifique. On peut reconnaître une célèbre phrase de Kant Sapere aude signifiant Ose savoir qui illustre bien la théorie des Lumières, leur servant parfois de devise. On observe alors la création de lieux de diffusion du savoir tel que des salons ou des cabinets de curiosité. [...]
[...] En effet, selon eux, la pensée humaine n'est que chimique. Les plaisirs que l'ont ressentirai, les douleurs, les attirances pour d'autres personnes ne seraient pas le résultat d'une divinité, d'un destin, ni même de soi-même, mais bien d'une substance chimique développée dans le cerveau. Cette théorie fait actuellement polémique sur tous les fronts. D'un point de vue religieux cela n'est pas envisageable et va à l'encontre de la pensée. Cependant cela choque également les populations simplement en leur condition d'humain puisque cela imposerait le non- contrôle de soi même, ainsi l'homme serait plus proche de la machine qu'il n'y paraît. [...]
[...] Du 17e siècle au 21e siècle, qu'est-ce qui vous paraît, parmi savant et courant de scientifiques, illustrer la définition de la science comme une philosophie du non ? Depuis plusieurs siècles, la vision de la science a évolué, on voit apparaître la philosophie du non visant à aller à l'encontre de la pensée commune, mais peut- on l'illustrer ? Dès le seizième siècle, les scientifiques vont à l'encontre de la pensée commune et notamment à l'encontre de l'église. En effet, avec la théorie de l'héliocentrisme énoncée d'abord par Copernic puis reprise par Galilée, toutes les visions de l'époque ont été bousculées. [...]
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