Schopenhauer entend exposer « la vraie philosophie de l'histoire », autrement dit il expose seulement son point de vue et, par conséquent, écarte définitivement le fait que l'histoire peut être immuable. Dès lors, qu'est-ce que la philosophie de l'histoire ? Il s'avère qu'elle est une pensée qui consiste à saisir un ordre dans le suivie de l'histoire humaine. Ainsi, cette réflexion cherche à savoir si les évènements ne sont justes qu'une association de faits ou, au contraire, un ordre qui serait une réalisation progressive construit par tout ce qui l'a précédé. Or, comme le montre l'auteur, l'histoire apparait aux yeux de tous comme un changement absolu. (...)
[...] Ligne 1 à 4 (La vraie philosophie [ ] de tout temps): Schopenhauer entend exposer la vraie philosophie de l'histoire autrement dit il expose seulement son point de vue et, par conséquent, écarte définitivement le fait que l'histoire peut être immuable. Dès lors, qu'est-ce que la philosophie de l'histoire ? Il s'avère qu'elle est une pensée qui consiste à saisir un ordre dans le suivie de l'histoire humaine. Ainsi, cette réflexion cherche à savoir si les évènements ne sont justes qu'une association de faits ou, au contraire, un ordre qui serait une réalisation progressive construit par tout ce qui l'a précédé. Or, comme le montre l'auteur, l'histoire apparait aux yeux de tous comme un changement absolu. [...]
[...] Dès lors, Schopenhauer dépeint un tableau tout aussi pessimiste des hommes puisqu'il affirme que les qualités premières, autrement dit les passions, poussent les hommes à se quereller. Ainsi, l'homme étant aussi malveillant qu'immuable, l'histoire en perd tout son sens. Ligne 9 à 14 (La devise générale [ ] toute vie sur terre): Ainsi, Schopenhauer propose une devise de l'histoire, eadem, sed aliter dans la mesure où l'histoire est toujours la même chose. Dès lors, les œuvres historiennes perdent leur sens puisqu'elles n'offrent uniquement des détails de l'histoire alors que la philosophie réfléchit sur le sens global de celle-ci. [...]
[...] Autrement dit, elle ne fait que de se répéter. Néanmoins, l'homme en ait la cause puisque lui-même est immuable et, par conséquent, l'histoire se renouvelle sans cesse des mêmes intrigues du passé. Ligne 4 à 9 (elle doit [ ] peu de bonnes): Les hommes sont, depuis toujours, les mêmes si bien que toute différence relève de l'accident. Ainsi, malgré l'évolution des techniques ou encore des cultures, les conflits resteront toujours les mêmes quelque soit les moyens pour y mettre un terme. [...]
[...] Celui qui a lu Hérodote* a étudié assez l'histoire pour en faire la philosophie ; car il y trouve déjà tout ce qui constitue l'histoire postérieure du monde : agitations, actions, souffrances et destinée de la race humaine, telles qu'elles ressortent des qualités en question et du sort de toute vie sur terre. *Hérodote : Historien grec (484-420 av. J.-C.) Thème : La philosophie de l'histoire (la réflexion sur l'histoire de l'humanité) Problème : Qu'apporte l'histoire à l'humanité ? Thèse : Malgré le caractère changeant de l'histoire, l'homme reste toujours le même. [...]
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