Savoir, sensibilité, émotions, perception, Descartes, Bergson, Heidegger, science, conscience, Claire Marin, Camus, Balzac, sentiments
Le savoir est le développement de nos connaissances sur le monde, sur les sciences ou sur n'importe quel sujet. Il peut permettre le développement de soi par l'acquisition de nouvelles idées ou de nouvelles perceptions. La sensibilité est la faculté à percevoir le monde par les émotions et par les sensations. Le savoir nuit-il à la sensibilité ? Si le savoir nous permet d'avoir une nouvelle perception et que la sensibilité est une perception, l'un ne peut-il pas exister sans l'autre ? Par conséquent, si le savoir nuit à la sensibilité, les individus perdent-ils la faculté de ressentir le monde ? Et, à l'inverse, si le savoir ne nuit pas à la sensibilité, alors y a-t-il des limites ? Arrive-t-il à « saturer » l'individu, et donc à freiner sa sensibilité ?
[...] Dans « hors de moi » de Claire Marin, sa maladie la freine mais la pousse à faire de nouvelle rencontre, à vivre de manière « Carpe diem », elle ressent plus de choseS par la peur de sa mort qui approche. Conclusion Pour conclure, le savoir est un frein à la sensibilité seulement s'il est mal utilisé. Mais le savoir ne peut pas empêcher un être d'être complétement insensible car cela n'est pas possible. La sensibilité est propre à chacun et peut être altérer par certains facteurs. Dans « la vallée de lys » de Balzac, la perception du champ change en fonction de ses émotions. Par conséquent, la sensibilité n'est pas fixe. [...]
[...] Le savoir nuit-il à la sensibilité ? Introduction Le savoir est le développement de nos connaissances sur le monde, sur les sciences ou sur n'importe quel sujet. Il peut permettre le développement de soi par l'acquisition de nouvelle idée ou de nouvelle perception. La sensibilité est la faculté à percevoir le monde par les émotions et par les sensations. Le savoir nuit-il à la sensibilité ? Si le savoir nous permet d'avoir une nouvelle perception et que la sensibilité est une perception, l'un ne peut-il pas exister sans l'autre ? [...]
[...] Le savoir ne joue pas de rôle dans la sensibilité dans ce cas-ci. Dans « L'étranger » de Camus, nous pouvons constater que très peu d'émotions sont représentées, beaucoup l'ont considéré comme insensible, mais en réalité, l'?uvre est détaillé sur ses sens : les lieux sont bien retranscrits, le touché des objets sont analysés, les bruits sont interprétés? Le personnage n'est pas insensible. Nous sensibiliser : De plus, le savoir peut sensibiliser. L'apprentissage de l'Histoire nous permet de nous sensibiliser afin de ne pas reproduire les guerres précédentes, les conflits ou les erreurs commises. [...]
[...] Ils ont le savoir, mais pas la mauvaise conscience de leur impact et donc de leurs actions. L'exemple des surdoués : Par conséquents, on peut penser aux cas des génies, des surdoués. Très souvent, lorsqu'ils sont mis en avant dans les films ou les séries, ils sont d'avantage portés sur le savoir que sur la sensibilité. Parfois, ils sont vus comme insensibles et ne comprennent pas les réactions des personnes « normales » suite à certains évènements. Dans ce cas, le savoir prendrait-il trop de place et empêcherait-il à la sensibilité de se développer et de s'épanouir ? [...]
[...] Les artistes seraient les seuls à pouvoirs s'exprimer de manière claire avec leur sensibilité. Ils vont au-delà des mots qui sont étiquetés. Les scientifiques et les savants font des observations, des expériences, mais ne se servent pas de sensibilité. L'exemple des sciences : De plus, les sciences poussent à l'évolution de la technique. Bien qu'elle permette une amélioration de l'humanité, sur le long terme elle peut, paradoxalement, devenir néfaste. Selon Bergson ou même Heidegger, la technique de production pousserait l'humanité à sa propre destruction. [...]
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