Analyse : le sujet exige d'étudier les rapports existants entre les connaissances en générale et la liberté. Il faudra se demander ce que l'homme peut savoir, et quelle liberté lui confère ce qu'il sait.
Questionnement :
- Un ignorant n'est-il pas libre ?
- Le savoir ne donne-t-il un pouvoir ? ainsi, la science ne liberté pas de la nature ?
- La liberté du savant n'a-t-elle pas les limites ? lesquels ? Un autre savoir ne serait-il pas plus libérateur, et en quel sens ? (...)
[...] N'importe quel homme possède la faculté de vouloir, et à ce titre un libre arbitre, même s'il est ignorant. Le simple exercice de la volonté n'exige aucun savoir particulier. Après tout, le si bien libre de me tromper ! Questionnement : mais s'agit-il d'une véritable liberté ? j'ai l'impression que ma volonté est sans limite et qu'elle seule détermine mes choix finalement ; ainsi, je crois souvent qu'il suffirait que je me décide pour agir autrement. Mais cette liberté n'est peut-être qu'une illusion. [...]
[...] Sujet : Le savoir ne rend-il nécessairement libre? Analyse : le sujet exige d'étudier les rapports existants entre les connaissances en générale et la liberté. Il faudra se demander ce que l'homme peut savoir, et quelle liberté lui confère ce qu'il sait. Questionnement : - un ignorant n'est-il pas libre ? - le savoir ne donne-t-il un pouvoir ? ainsi, la science ne liberté pas de la nature ? - la liberté du savant n'a-t-elle pas les limites ? lesquels ? [...]
[...] Hypothèse : être libre, c'est agir en connaissant les voies de la nature. La connaissance scientifique du déterminisme naturel me confère un pouvoir sur la nature : l'insouciance, je peux prévoir les phénomènes naturels, et dans une certaine mesure, agir sur eux en recourant à des techniques. Le progrès technique dépend de la recherche scientifique. Par exemple, la biologie et l'étude des êtres vivants et des lois qui les gouvernent. Grâce à cette science, je peux anticiper certains processus biologiques et éventuellement intervenir pour les enrayer, comme lorsque l'on guérit une maladie. [...]
[...] L'éthique pourrait être ce savoir régulateur et libérateur. Définition : théorie ou doctrine ayant pour objet et la détermination des fins de l'existence humaine. L'éthique m'apprend par exemple ce qui est par devoir, sur quoi se fonde une telle obligation morale. Il s'agit de réfléchir sur ce que tout homme doit faire , et sur ce que l'homme doit s'interdire de faire même s'il en a le pouvoir. C'est en ce sens que l'éthique peut me libérer les dérives des technosciences, en rejetant par avance certaines applications des sciences. [...]
[...] Questionnement : la liberté comme de la science, c'est-à-dire la connaissance de la nature en et hors de moi, est-elle la plus authentique ? la science est-elle le seul et l'unique savoir libérateur ? L'éthique : Un savoir qui rend nécessairement libre. La science m'apporte une liberté limitée et à des efforts parfois néfastes concernant les libertés individuelles. Ainsi, une science est un savoir spécialisé, et une affaire de spécialistes ; ce savoir spécialisé ne confère de pouvoir que dans des domaines d'action très précis. De plus, l'application technique des théories n'est pas toujours maîtrisable (les difficultés d'exploitation nucléaire). [...]
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