Nous allons donc commencer par observer comment nous pouvons progresser sans prendre de risques. Pour illustrer cette partie, nous allons prendre pour exemple la fabrication d'un médicament. Dans un premier temps, le laboratoire pharmaceutique va déterminer quelle maladie va devoir combattre le médicament. Le laboratoire va ensuite analyser cette maladie à combattre. Une fois ces analyses réalisées, les chercheurs du laboratoire pharmaceutique vont élaborer des formules, différents calculs afin de trouver la meilleure formule pour combattre la maladie. Par la suite, le médicament sera crée mais il sera tout de même testé sur des animaux de laboratoire. Si tout se passe bien, un échantillon de personnes volontaires vont-elles aussi tester ce médicament. Enfin, si aucun effet secondaire n'a été constaté, le médicament pourra se retrouver sur le marché pharmaceutique (...)
[...] Cependant, tout cet enthousiasme soulève aussi des réserves et des interrogations. Les progrès ne se font pas sans risque, comme nous le rappellent les options inquiétantes qui ont entouré le clonage de Dolly. Nous pouvons aussi observer que l'homme se sent parfois un peu perdu et hésite alors devant l'étendue et la conséquence de ces pouvoirs. Tout ramène donc à penser que l'homme se refuse à tout savoir, à tout connaître. Celui-ci redoute ou bien regrette ses fabuleux savoirs. Il s'arrête donc aux limites de la connaissance, ou bien il regrette d'y avoir cédé. [...]
[...] En effet, avant qu'une fusée ne soit envoyée dans l'espace, il y a un ensemble de test à passer. Ces tests concernent la fusée en elle-même mais il y en à aussi au niveau de l'équipage de la fusée. Tout doit être envisagé, même les pires scénarios catastrophes car tout le monde doit être prêt à tout affronter. En agissant ainsi, nous faisons diminuer les risques. Dans cette première partie, nous avons pu nous rendre compte que par les prévisions, les calculs, les tests, nos pouvons faire diminuer la possibilité de se retrouver face à un risque. [...]
[...] Il reste alors à définir les choix qui s'offrent encore à l'homme, entre risques et progrès. Nous pouvons donc signaler que les sociétés modernes doivent opérer des choix. Et ce, en particulier dans le domaine des sciences médicales. Dans cette idée, il faut rappeler que l'humanité ne peut plus se permettre de faire l'économie d'une conscience collective. De plus, elle doit se donner des institutions pour encadrer cet ensemble de nouveautés avec de nouvelles règles au niveau éthique. Il faudra aussi former les nouvelles génération sa tout cela, il est vital pour une société que sa jeunesse soit informer, sans cela tout est à recommencer, car la jeunesse se retrouvera seule face aux dilemmes qui se poseront devant elle. [...]
[...] Pour illustrer cela, un exemple extrait du roman de Mickhaîl Boulgakov, Cœur de Chien, dans ce roman, l'auteur imaginait la peur ou l'émerveillement de l'homme devant le fait que de par une greffe de l'hypophyse, nous avons alors la possibilité de changer un animal en homme. L'homme est rempli d'ambition, d'un désir de savoir, d'un désir de découvrir tout ce qu'il peut savoir et découvrir. De prime abord, ce programme est fascinant. Il faut savoir que cette impatience est inhérente à la nature humaine, c'est une définition de l'être humain. Cette volonté de savoir ainsi que le pouvoir qui s'y attache sont la réponse a une demande de notre société. [...]
[...] En effet, dans cet ouvrage, les personnages prennent le risque d'utiliser le feu même si celui-ci les attaque. Ils fabriquent des armes pour tuer le gibier. En prenant ces risques, ils ont progressé en apprivoisant le feu et en apprenant à chasser pour survivre, pour ne plus se cacher dans de froides cavernes, pour évoluer. Ceci est la raison même de l'homme : l'évolution. Nous pouvons aussi prendre l'exemple de la Révolution Française ou bien même de la résistance lors de la première et de la seconde guerre mondiale. [...]
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