État, contrat social, justice naturelle, régime totalitaire, justice parfaite, application de la loi, justice
Selon l'opinion commune, il revient à l'État de décider de ce qui est juste et donc de ce qui est conforme à la justice. Or, le sujet nous invite à nous interroger sur la légitimité de ce pouvoir, s'il revient à l'État de décider de ce qui est juste, cela implique un fonctionnement équitable et démocratique permettant un jugement objectif. Néanmoins, dans la mesure où le gouvernement peut mentir à son peuple, la vision d'un ordre juste est relative à chaque société et on ne peut l'appliquer de manière universelle. Il faudrait dans ce cas remettre en question sa nécessité vis-à-vis du système étatique, l'usage que l'on doit faire du pouvoir, et se questionner sur sa durabilité. La justice étant abstraite et subjective, comment doit-on attribuer le pouvoir s'il l'on souhaite assurer une stabilité étatique durable ?
Sujet Baccalauréat 2022
Note obtenue : 20 / 20
[...] Il est difficile de savoir ce qu'il a confié, mais il est certain qu'une seule personne ne peut pas la posséder ni en posséder sa perception. Si la justice n'est pas toujours équitable en raison des restrictions de liberté. Qu' impose à certains peut-elle devenir ? Peut-on imaginer une justice parfaite ? Lorsque Georgio disait "ce monde n'est pas injuste, mais juste comme on l'a fait", il rejoignit sans doute l'idée de Nietzsche. Selon quel la justice consiste à répartir équitablement l'injustice. [...]
[...] un autre problème se pose celui d'assurer une paix durable. Si j'ai un système durable selon Hannah Arendt c'est la protection des droits kilos permis c'est notamment l'objectif de la déclaration universelle des droits de l'homme et du citoyen rédigé en 1789 divisé à garantir des droits idéal êtres humains. L'histoire d'Antigone, écrite par Sophocle, reflète cette idée selon laquelle il existe des droits divins que nous seuls possédons et que nul ne peut nous enlever. Dans cet exemple crayon est dans son bon droit puisqu'il fait son devoir de gouverner, Ted et Antigone est dans son droit naturel car il entreprend d'enterrer dignement son frère. [...]
[...] Elle leur permet par une organisation collective de surmonter le contrôle des dangers, notamment la nature. Néanmoins, il n'est pas certain que la justice s'impose toujours. Dans l'Antiquité, les hommes considèrent déjà chez les Grecs, qu'un État bien construit devait être un État. Juste en effet la justice semble assurer une équité entre les citoyens de la cité qui est nécessaire à une vie sans angoisse. Ce peuple est d'ailleurs fondateur de la démocratie du grec, Démos qui désigne le pouvoir est Kratos qui désigne le peuple. [...]
[...] Dès lors il agit en malfrats il accomplit de nombreux effets qui démontre que l'homme est bon au sens de l'entendons communément par choix, c'est-à-dire par intérêt et non pas par nature. Cette histoire est bien sûr fictive. Elle est racontée à Aristote dans le but de refléter la nature profonde de l'humain, que notre fort intérieur se doit d'admettre. L'être humain se comporte en homme bon et juste uniquement par intérêt. En effet, les Grecs ont compris de leur temps que l'harmonie et la justice vont de pair et sont au fondement d'une société paisible et par conséquent d'un ordre durable. [...]
[...] Louis XIV disait que l'État c'est moi. Or il n'est pas raisonnable qu'une seule personne détienne l'entièreté des pouvoirs. Au nom d'un peuple. Ce sont ces visions qui engendrent les régimes totalitaires car elles sont extrêmes. Elle ne cherche pas la stabilité et l'équilibre entre les zones, mais simplement assurer un ordre social, qui est fondé sur des principes absolu engendre rend des comportements souvent inhumain. Jusqu'à la révolution, tout semblait fonctionner à merveille avec paix, puisque les hommes sont bien d'accord sur leur place dans le système, tout comme nous, l'avons dit pour le maître grec et l'esclave. [...]
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