Fiche de Culture Générale sur l'?uvre d'Antoine Garapon: La république pénalisée (1 page)
. Les nouveaux acteurs du procès pénal
Victimes, surtout au travers de leurs associations, et des plaintes avec constitution de partie civile
Commentaires:
- Cette importance croissante est ambiguë car elle ne fait qu'accroître le dépendance des victimes à l'égard de l'Etat.
- L'utilisation croissante de la justice pénale est inquiétante, notamment pour les professions à risques comme certaines spécialités médicales. Plusieurs lois récentes ont limité cet accès au droit pénal, et n'ont plus lié l'indemnisations du dommage à l'établissement d'une faute par la justice pénale.
[...] Elle est contraire à l'impunité ordinaire des puissants, les hommes politiques et les hauts-fonctionnaires . Vers une autre justice pénale capable de répondre aux nouvelles figures de l'insécurité Il faut que le droit pénal retrouve une certaine rareté, car sinon les interdits sont dévalorisés. L'emprisonnement avec sursis est rarement considéré comme une véritable sanction, l'inéligibilité ou l'interdiction d'exercer une activité sont plus pénalisants. Les sanctions pénales doivent donc être revues. Il faut en même temps de nouveaux mécanismes de régulation, administratifs, professionnels, familiaux. [...]
[...] La République pénalisée = importance de la justice pénale . Les nouveaux acteurs du procès pénal Victimes, surtout au travers de leurs associations, et des plaintes avec constitution de partie civile Commentaires: - Cette importance croissante est ambiguë car elle ne fait qu'accroître le dépendance des victimes à l'égard de l'Etat. - L'utilisation croissante de la justice pénale est inquiétante, notamment pour les professions à risques comme certaines spécialités médicales. Plusieurs lois récentes ont limité cet accès au droit pénal, et n'ont plus lié l'indemnisations du dommage à l'établissement d'une faute par la justice pénale . [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture