Ernest Renan, philosophe et écrivain du 19ème siècle nous interroge sur le rapport étroit entre l'Homme et la science au moment même où la philosophie, incapable de s'adapter au monde moderne, connaît une grave crise. La science est alors devenue indispensable au devenir de l'Homme, le seul moyen qu'il ait pour améliorer son sort.
Dans sa réflexion, il distingue deux mondes, un monde dans lequel la science n'existerait pas et où l'Homme serait donc esclave de son environnement, condamné à faire des tâches ingrates dépourvues d'intérêts et de considérations, l'empêchant d'évoluer, de se poser des questions sur le monde qui l'entoure, réfléchir à des problèmes plus important pour son devenir. En somme, l'Homme ne serait qu'un animal parmi d'autres n'ayant que des besoins primaires comme manger, boire et dormir. Il distingue un autre monde dans lequel au contraire la science serait présente et où l'Homme y serait libre (...)
[...] Dans sa réflexion, il distingue deux mondes, un monde dans lequel la science n'existerait pas et où l'Homme serait donc esclave de son environnement, condamné à faire des tâches ingrates dépourvues d'intérêts et de considérations, l'empêchant d'évoluer, de se poser des questions sur le monde qui l'entoure, réfléchir à des problèmes plus important pour son devenir. En somme, l'Homme ne serait qu'un animal parmi d'autres n'ayant que des besoins primaires comme manger, boire et dormir. Il distingue un autre monde dans lequel au contraire la science serait présente et où l'Homme y serait libre. La science permettrait d'accéder à des solutions techniques susceptibles de libérer l'Homme des tâches les plus ingrate ; une certaine modernité au service de l'Homme. [...]
[...] Aujourd'hui, Internet permet le développement des communications et de l'information. Concernant les populations dites non éclairées peut-on vraiment dire comme le suggère Renan, qu'elles sont esclaves de leurs conditions de vie ? Elles ont simplement une vision de la vie différente de la nôtre, elles ne sont pas moins stupides que les autres civilisations. Dans l'analyse que fait Renan, il y a un risque de vouloir coloniser ces populations pour les rééduquer les obliger à adapter notre style de vie. [...]
[...] En conclusion, la science ne cessera jamais d'exister, le besoin de connaissance sur le monde est propre à l'homme. La science ne peut être que partiellement encadré pour éviter toutes dérives dangereuses. La science n'est qu'une longue et systématique curiosité. [...]
[...] Elle a eu des conséquences très graves sur la santé. Les nuages radioactifs ont survolé l'Europe dont la France. La question des OGM, organismes génétiquement modifiés, fait également débat en France, on ne connaît pas encore les risques éventuels sur la santé. L'utilisation des insecticides par les agriculteurs a des conséquences également néfastes sur l'environnement, la population des abeilles diminue, en fécondant les fleurs, elles assurent leur reproduction et en grande partie notre productivité en fruits et légumes. Leur déclin largement annoncé n'est don pas de bon augure. [...]
[...] La première guerre mondiale a mobilisé savants et ingénieurs. Leurs travaux ont bouleversé les conditions de batailles. Les gaz toxiques, utilisés par les deux camps auront fait blessés, les poumons irrémédiablement atteints, et tués soldats lors de la première guerre mondiale. Friz Haber mit ses compétences de chimistes au service du Kayser. Il organisa en personne la première attaque massive au chlore, le 22 avril 1915. Lors de la Seconde guerre mondiale, les nazis ont utilisés des juifs comme cobayes pour des expériences scientifiques. [...]
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