Actuellement les sociétés les plus abouties (celles d'occident) tendent à s'éloigner de la religion pour peut-être un jour s'en détacher définitivement.
Mais la société peut-elle seulement se passer de religion ? Ou au contraire, la religion n'a-t-elle pas une place irremplaçable ? Et en ce sens la société n'est-elle pas profondément dépendante de la religion ? (...)
[...] Pour quelle NASSIMI Ammar TS raison somme-nous ici? Or aucune société n'est capable de répondre à ces questions, en réalité seule la religion y apporte des réponses auquel il faut croire sans condition Cette universalité montre que le sentiment religieux est naturel à l'homme, il lui est inné, parce que l'homme, curieux de nature cherche toujours des réponses à ces questions. Si l'homme est religieux ce n'est pas seulement à cause de sa quête perpétuelle du savoir, mais aussi parce qu'il recherche la sérénité. [...]
[...] Faut-il pour autant admettre que la société restera toujours aussi dépendante de la religion ? Non car s'il est impossible de séparer la société de la religion il faut pour le moins y limiter son influence. La religion, s'il est obvie qu'elle rassemble les hommes de même confession, divise aussi de manière évidente ceux qui en ont des différentes, allant même parfois jusqu'à être la cause de conflits. Ainsi les Croisades opposent-elles au 14ème siècle chrétiens et musulmans, par ailleurs ce sont aussi pour des questions de différents religieux que l'Europe est le théâtre de massacre au 16eme siècle (guerre des religions entre protestants et NASSIMI Ammar TS catholiques). [...]
[...] Comment lorsque l'on parle des méfaits de l'obscurantisme religieux ne pas penser à Copernic qui a été condamner pour avoir révéler au monde que la Terre n'était pas au centre du monde et que le Soleil ne tournait pas autour d'elle ? Comment ne pas penser à Galilée et aux combats qu'ont menés Rome et l'Inquisition contre lui ? Combien d'autres vérités les dogmes religieux ontils étouffé dans l'œuf ? Ces quelques questions nous amènent à penser que la religion a conséquemment ralentit la progression des sociétés, et qu'en ce sens elle mérite largement d'y voir son influence limiter. [...]
[...] C'est ainsi que dans la première moitie du 20ème siècle Gandhi réunit son peuple au travers de l'indouisme et finit par accéder à l'indépendance en 1947. La société en ellemême n'assure pas cette fonction de cohésion, elle a donc besoin d'un parti tiers pour le faire, d'où la place importante et même capitale de la religion. Le second aspect de la religion, celui selon laquelle elle renverrait à l'idée d'observance n'est pas moins nécessaire au bon fonctionnement des sociétés. Elle rend l'homme plus docile puisqu'elle le soumet à l'exigence morale et en ce sens le force au respect des règles d'une société. [...]
[...] Avant de tenter d'apporter des objections à cette thèse posons-nous la question suivante : Existe-t-il seulement des sociétés sans religion ? Ayant constatée que non, nous nous devons d'expliquer pourquoi afin de poursuivre notre étude. La religion est un phénomène universel, ainsi bien que ses formes soient multiples elle existe partout, par ailleurs des 6,5 milliards d'hommes que nous sommes sont croyants. Si elle est universelle c'est parce que les problèmes et les questionnements des hommes sont les mêmes partout : Qui somme nous ? [...]
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