Le bonheur, être heureux est en fait une quête de bien être que nous cherchons tous même parfois à travers le choix de la souffrance. Mais comment peut-on prétendre pouvoir y accéder ?
Est-ce un but accessible à tous ou un but utopique ? La quête de bonheur est-elle une question de point de vue sur nous-mêmes, sur la vie ? Dépend-il du caractère de l'Homme : optimiste ou pessimiste ? (...)
[...] Le fait de se sentir heureux ressort plutôt de l'opinion personnel et de notre philosophie de vie. On pourrait donc dire que le bonheur est accessible si on le veut vraiment et si nous somme optimistes. Dans le cas contraire, si l'on est pessimiste, cette quête pourrait paraitre impensable. Mais nous pourrions élargir le sujet en nous posons la question de savoir si l'état d'esprit d'un individu tel que le pessimisme, s'il peut être le résultat d'une souffrance, d'un conditionnement ? [...]
[...] En possession de ces explications peut-on généraliser que l'Homme est capable d'être heureux ? Existe-t-il des contradictions ? II) Le bonheur ou l'utopie de celui-ci La nature de l'Homme empêche l'accès au bonheur L'Homme serait par nature empêché d'être heureux. C'est ce que partage Pascal. L'Homme est assailli de questions à longueur de temps : Pourquoi ? Quand ? Comment ? L'Homme se pose continuellement des questions par manque de réponses, de savoir, il n'est sûr de rien. Si ce n'est la mort inévitable mais encore ici, une autre question se soulève : quand vais-je mourir ? [...]
[...] DISSERTATION DE PHILOSOPHIE : A-t-on raison de penser que l'homme peut être heureux ? Introduction Le bonheur, être heureux est en faite une quête de bien être que nous cherchons tous même parfois à travers le choix de la souffrance. Mais comment peut-on prétendre pouvoir y accéder ? Est ce un but accessible à tous ou un but utopique ? La quête de bonheur est-elle une question de point de vue sur nous-mêmes, sur la vie ? Dépend-il du caractère de l'Homme : optimiste ou pessimiste ? [...]
[...] Le bonheur à travers la souffrance En revanche pour Schopenhauer, la question de bonheur diffère de ce que avons pu voir. Notre vie se résumerait a un balancement dans fin entre souffrance et ennui. La souffrance apparaitrait après chaque désir réalisé, puisqu'un fois la jouissance réalisée, se forme un manque suivi de souffrance. Et si nous n'avons pas de désirs c'est l'ennui qui comble la souffrance. Selon le même philosophe, le bonheur est négatif par les désirs et plaisirs suivies constamment de souffrance. [...]
[...] C'est ce que pense en effet Epicure. La notion de plaisir ici n'est pas celle des plaisirs plaisants dans les orgies telle que le plaisir sexuel, alimentaire ou pécuniaire. Il s'agit d'après Epicure de la recherche du plaisir à travers l'absence de douleur et la paix de l'âme. Comment peut-on accéder et qui peut accéder à toutes ces vertus, ces plaisirs ? La bonheur grâce la sagesse Selon Epictète et Epicure, le sage est un Homme au dessus de tout sauf du divin à travers le fait qu'il ne craint pas la mort mais qu'il l'accepte, qu'il n'a peur de rien, qu'il voit tout de manière objective. [...]
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