Le problème philosophique mis en évidence par l'auteur est ici les pensées et leurs incidences ou non sur les choses extérieures. Descartes développe dans son texte le terme de pensées, ce qu'il veut dire, ainsi que sa fonction par rapport à l'homme et l'environnement. Ainsi, Descartes émet dans ce texte la thèse que nous contrôlons entièrement, seulement nos pensées. Il pense en effet que les choses extérieures ne peuvent être contrôlées par l'homme directement.
[...] Celui-ci n'est pas applicable aux pensées puisqu'elles ne dépendent que d'elles-mêmes. Dans un second temps, l'auteur dit Et il n'y a rien du tout que les choses qui sont comprises sous ce mot, qu'on attribue proprement à l'homme en langage de Philosophe ce qui signifie que toute autre chose, ne se faisant non pas par les pensées, mais par un autre moyen, est étrangère à l'homme et ne lui appartient en aucun point; Descartes classe en effet les actions en deux catégories, les actions réalisées par l'homme et les actions faites dans l'homme, la différence étant que les premières s‘exécutent à l‘extérieur du corps et parfois même par le corps, tandis que les autres ne sont pas physiques et se déroulent dans nos têtes. [...]
[...] En quoi les pensées peuvent-elles influer sur les choses extérieures ? Le problème philosophique mis en évidence par l'auteur est ici les pensées et leurs incidences ou non sur les choses extérieures. Descartes développe dans son texte le terme de pensées, ce qu'il veut dire, ainsi que sa fonction par rapport à l'homme et l'environnement. Ainsi, Descartes émet dans ce texte la thèse que nous contrôlons entièrement, seulement nos pensées. Il pense en effet que les choses extérieures ne peuvent être contrôlées par l'homme directement. [...]
[...] En quoi les pensées peuvent-elles influer sur les choses extérieures ? Nous étudierons ce texte en trois parties, dans la première partie nous analyserons la première phrase, dans la seconde partie, la deuxième phrase puis dans la troisième partie, la dernière phrase. Dans un premier temps, nous remarquons que Descartes donne une définition et énumère des exemples de ce qu'il appelle pensées Celles-ci sont pour lui tout ce qui se rapporte à l'homme et plus précisément à l'âme, comme la réflexion ou les cinq sens, les pensées nous sont donc propres, elles nous appartiennent et nous les dirigeons comme bon nous semble. [...]
[...] Suite à l'analyse et à l'interprétation faite du texte, nous pouvons donc répondre à la problématique en quoi les pensées peuvent-elles influer sur les choses extérieures ? en disant que c'est grâce à elles et par leur biais que nous pouvons interagir avec l'environnement et qu'il nous est donc possible de maitriser certaines de ces choses extérieures, sans garantie de réussite cependant. Ce qui pourrait nous conduire à nous demander quelles pourraient être les raisons des échecs de nos entreprises sur les choses extérieures. [...]
[...] Ces dernières sont celles liées aux pensées, cependant, certaines de ces actions, chacune d'une manière différente, peuvent avoir un impact sur les choses extérieures à l'homme. En effet, nous avons vu précédemment que les pensées ne dépendent que d'elles-mêmes, mais que, cependant, elles peuvent engendrer des actions extérieures exercer par l'homme lui-même, des actions comme manger, s'hydrater, manipuler quelque chose ou quelqu'un ne sont autres que les résultats de pensées, il se passe donc une sorte de connexion nécessaire entre les différents modes d'action que nous possédons, les pensées nous permettent de nous réaliser en tant qu'être humain, par le biais d‘actions extérieures, dans une société. [...]
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