Développement de la connaissance, production scientifique, Etats, sociétés, géopolitique, soft power, hard power, recherche scientifique, espionnage, URSS, politique étrangère, technopôles, course à l'innovation, Chine, projet Manhattan, Etats-Unis, cyberespace
La connaissance est un processus actif de production. Le savoir est le résultat, le produit de la connaissance. L'accès et le partage de la connaissance constituent des enjeux majeurs pour les individus (savoir = pouvoir économique et politique) et pour les états, ils leur permettent d'affirmer leur puissance économique (économie innovante et dynamique) et géopolitique (soft power). Si la connaissance est une caractéristique de l'homme et que les sciences se sont développées lors de nombreuses périodes, d'après certains, nous serions rentrés dans une société de la connaissance et que les connaissances se diffuseraient à plus grande échelle que jamais.
[...] La puissance des états repose surtout sur la maîtrise de la connaissance qui permet d'assurer la puissance militaire, l'influence scientifique et technologique et les succès diplomatiques. Grâce à la recherche scientifique, mais aussi à l'espionnage, l'URSS se dote de la bombe atomique en 1949, cinq ans après les États-Unis. Il existe deux types de renseignements : le renseignement intérieur pour prévenir les actes criminels et le renseignement extérieur a pour mission d'assurer la protection du territoire contre des actes venus des puissances étrangères, d'anticiper les décisions de celles-ci et d'adapter sa politique étrangère. [...]
[...] En Russie, Poutine contrôle tous les informations qui circule sur internet grâce aux gens qui surveille tout ce qui est posté qui pourrait nuire Poutine ou la Russie en général. Pour conclure, depuis l'époque moderne la connaissance et la production scientifique ne cessent de se développer. La connaissance devient donc un atout majeur pour les états et les sociétés, car elle est source de puissance comme on le dit souvent : « savoir c'est pouvoir. » La connaissance est nécessaire dans le développement d'un état. [...]
[...] Par exemple, l'Inde tente de mettre en place une société de la connaissance en formant de plus en plus de jeunes. L'Inde encourage ses étudiants à étudier à l'étranger, notamment dans le domaine de la technologie, dans le but de faire un transfert de compétences et de technologie. Ainsi, va débuter une véritable course à l'innovation notamment entre les États-Unis, la Chine et l'Inde. II. Les intérêts géopolitiques s'imposent comme puissance dominante sur le plan militaire et technologique Pour Truman, intérêts géopolitiques pour s'imposer comme la puissance dominante sur le plan militaire et technologique. [...]
[...] L'espace est devenu un véritable champ de bataille pour les états. Chacun cherche à se l'approprier dans un but militaire, pour déstabiliser ses voisins et concurrents, ou pour être plus influençable et donc devenir une puissance. Donc pour pouvoir être à la tête des états et devenir une puissance mondiale ou spatiale, un état a besoin de la connaissance et des avancements technologiques, pour pouvoir innover et se développer. Le cyberespace est un atout aux états avec un énorme enjeu géopolitique, car les grandes entreprises privées (GAFAM) exercent beaucoup d'influence sur les contenus d'internet et peuvent contrôler la circulation des données via de nouvelle infrastructure. [...]
[...] En quoi le développement de la connaissance et la production scientifique sont-ils des atouts pour les autres états et les sociétés ? La connaissance est un processus actif de production. Le savoir est le résultat, le produit de la connaissance. L'accès et le partage de la connaissance constituent des enjeux majeurs pour les individus (savoir = pouvoir économique et politique) et pour les états : ils leur permettent d'affirmer leur puissance économique (économie innovante et dynamique) et géopolitique (soft power). Si la connaissance est une caractéristique de l'homme et que les sciences se sont développées lors de nombreuses périodes, d'après certains, nous serions rentrés dans une société de la connaissance et que les connaissances se diffuseraient à plus grande échelle que jamais. [...]
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