Migration, vie meilleure, Eldorado Laurent Gaudé, clandestins, Desierto Joras Cuarén, Ellis Island, pauvreté, Mahomed Zampon, réfugiés, Yeonmi Parc, droits de l'homme
Quitter son pays pour une nouvelle vie, c'est ce que font de nombreux migrants dont les conditions de vie sont très mauvaises. Mais cette nouvelle vie est-elle vraiment meilleure ? Nous verrons dans une première partie, pourquoi migrer vers un autre pays peut être compliqué et que la vie des migrants ne s'améliore pas forcément ou peu. Puis, nous aborderons les points positifs de la migration vers un autre pays, en illustrant notamment par des faits réels.
[...] Quelques exemples Enfin, même si certains arrivent jusqu'au pays de destination, ils peuvent être renvoyés dans leurs pays. C'est par exemple le cas des États-Unis, comme le montre un court documentaire, où les migrants doivent passer des examens physiques, psychologiques, idéologiques et administratifs à l'Ellis Islande afin de tester s'ils sont aptes à rester aux États-Unis. Dans le cas contraire, ils sont renvoyés dans leurs pays. Et ce fut malheureusement le cas de plus de personnes soit des migrations venant du monde entier (Europe, Asie, etc.) Cependant, la vie pour un migrant n'est pas toujours négative En effet, après avoir franchi les dures étapes pour arriver jusqu'au pays de destination, la vie peut être meilleure là-bas, comme dans le roman inspiré de l'histoire vraie de Mahomed Zampon « Du piment dans les yeux » de Simon Grangeat. [...]
[...] Ceux qui migrent sont-ils promis à une vie meilleure ? Selon vous, ceux qui migrent sont-ils promis à une vie meilleure ? Vous répondrez à cette question dans un développement argumenté d'une quarantaine de lignes en vous appuyant sur les supports du corpus, sur vos lectures et sur vos connaissances personnelles I. Quitter son pays pour une nouvelle vie ? Quitter son pays pour une nouvelle vie, c'est ce que font de nombreux migrants dont les conditions de vie sont très mauvaises. [...]
[...] Pour commencer, quitter son pays est difficile. On doit souvent quitter sa famille pour ne plus les revoir, laisser sa vie d'avant. Par exemple, dans le livre « Eldorado » de Laurent Gaudé, Soleiman doit partir seul, sans son frère, ce qui est très dur pour lui. Il réalise qu'aucune frontière n'est facile à passer, car il a laissé son frère derrière lui. Il en conclut que toutes les frontières blessent, que ça soit physiquement ou, ici, moralement. Ensuite, nous ne sommes pas sûrs d'arriver au pays en bon état de santé, voir en vie. [...]
[...] Ils sont ainsi aidés dans leurs démarches, études et cela leur garantit un futur qu'ils n'auraient pas pu avoir dans leur pays d'origine. En conclusion, je pense, les migrants peuvent avoir une vie meilleure, mais ce n'est pas systématique. Quitter son pays et arriver sain et sauf peut être difficile, que ce soit mentalement ou physiquement. De plus ce n'est pas toujours facile une fois arrivé dans le pays de destination, mais je pense que si on est parvenu à arriver en France, aux États-Unis ou dans un autre pays, on peut réussir à construire une vie meilleure que celle d'avant. [...]
[...] Il fait maintenant un BTS en alternance et fait partie de la distribution du spectacle. De plus, certains peuvent se faire entendre et défendre leurs libertés à cause de leurs durs passés. C'est le cas d'une réfugiée nord-coréenne, Yeonmi Parc, qui a aujourd'hui 27 ans. Comme le montre son témoignage lors du sommet de One Young World de Dublin en 2014 ou encore son livre « je voulais juste vivre », on apprend sa terrible histoire où elle n'a aucun droit en Corée du Nord, même pas de chanter et dire qu'elle veut, d'avoir internet ou même de regarder des films étrangers. [...]
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