Le travail peut apparaître comme une contrainte du fait que l'homme perd son temps à travailler dans le but de gagner sa vie. Ainsi, le travail demande effort et temps et laisse l'homme à bout de souffle lorsque vient l'âge de la retraite. Mais le travail peut apparaitre aussi comme une issue.
Dès lors, le travail est-il donc une perte ou un gain ? Nous verrons, tout d'abord, l'aliénation du travail puis nous montrerons les conditions d'un travail humanisant. Pour finir, nous verrons les mérites du travail (...)
[...] Dissertation : Que gagnons-nous à travailler ? Le travail peut apparaître comme une contrainte du fait que l'homme perd son temps à travailler dans le but de gagner sa vie. Ainsi, le travail demande effort et temps et laisse l'homme à bout de souffle lorsque vient l'âge de la retraite. Mais le travail peut apparaitre aussi comme une issue. Dès lors, le travail est-il donc une perte ou un gain ? Nous verrons, tout d'abord, l'aliénation du travail puis nous montrerons les conditions d'un travail humanisant. [...]
[...] Dès lors, le travail permet de mettre à profit les qualités que l'homme dispose. C. L'universalité du travail Le travail est synonyme de contrainte et d'aliénation mais permet à l'homme d'apporter un peu du sien à l'évolution de la société. Qui plus est, l'homme ne travaille pas seulement pour lui-même mais il travaille pour toute son espèce. Contrairement aux fourmis noirs qui travaillent pour sa famille mais pas pour toutes les espèces de fourmis comme le suggère Werber Les mérites du travail A. [...]
[...] Ne pas travailler, un gain ? Dès lors, on pourrait penser que ne pas travailler pourrait être un gain dans le sens où l'on regagne notre liberté et on peut arriver à son propre accomplissement. Mais Marx montre que le salarié perd tout à travailler. Le fait de travailler comme il le fait, autrement dit en étant un salarié, l'empêche de s'humaniser même en dehors du travail Un travail humanisant A. Le travail et la culture Malgré les contraintes qu'imposent le travail, l'homme permet de s'inscrire dans sa propre culture grâce au travail contrairement aux animaux qui suivent leur instinct. [...]
[...] On l'achète 2 et on gagne 2 millions, très beau bénéfice ! B. Le mérite de l'homme L'homme a du mérite de travailler dans le sens où il s'use au travail, où il fournit des efforts pour arriver à terme de son projet. Comme le dit Rousseau, l'homme est un être paresseux, il pourrait ne rien faire de ses journées ou bien ne pratiquer que des loisirs. Mais il n'aurait aucun mérite puisqu'il ne se sera pas investit comme un homme au travail. [...]
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