Au-delà de l'utilité d'une oeuvre et de la recherche du beau, la valeur artistique n'est pas une notion absolue et nécessaire car elle a évoluée au fil du temps, selon l'évolution des moeurs et a donc pu être autrement de ce qu'elle est aujourd'hui. Ainsi, elle reste complexe car nous n'admirons pas tous les mêmes caractéristiques dans une oeuvre d'art. Certains s'attarderont davantage sur la technique, les formes et couleurs choisies,... Mais alors quand pouvons-nous estimer qu'une production est une oeuvre d'art en soi ? Est-ce lorsque la reproduction d'un objet est tellement semblable à la réalité qu'elle nous parait réelle également ? (...)
[...] Or nous avons vu que face à une œuvre d'art les émotions peuvent être différentes selon les personnes, ce qui peut être dû aux sens ou à l'expérience. Mais, la beauté ne dépend elle pas aussi de ces critères ? Donc définir une production comme étant belle serait comme dénigrer l'existence de la pluralité des avis car ce serait sous-entendre que l'œuvre est belle pour tous. Nous pouvons donc nous demander quesque le beau ? Et l'art est-il actuellement nécessairement beau ? [...]
[...] Qu'admire-t-on dans une œuvre d'art ? Au-delà de l'utilité d'une œuvre et de la recherche du beau, la valeur artistique n'est pas une notion absolue et nécessaire car elle a évoluée au fil du temps, selon l'évolution des mœurs et a donc pu être autrement de ce qu'elle est aujourd'hui. Ainsi, elle reste complexe car nous n'admirons pas tous les mêmes caractéristiques dans une œuvre d'art. Certains s'attarderont davantage sur la technique, les formes et couleurs choisies, Mais alors quand pouvons-nous estimer qu'une production est une œuvre d'art en soi ? [...]
[...] L'artiste est donc celui qui va pouvoir faire que sa production soit une œuvre. En effet, il y a un processus de production que l'on attribue seulement aux œuvre d'art et qui vont faire de celui qui la créer, un artiste. Pour échapper aux risques dus à l'imitation énoncés dans l'introduction, l'artiste pour rendre son œuvre admirable peut prendre quelques libertés lorsqu'il souhaite reproduire. En effet, Alberti nous dit que la beauté pourrait résider dans la modification de la réalité. [...]
[...] On a vu ici que l'aptitude de l'artiste à maîtriser les notions constituantes de son œuvre son admirable, mais le phénomène inverse, c'est- à-dire le laisser aller de l'artiste, peut l'être tout autant. Par exemple, Lorsque l'artiste commence son œuvre, il n'a aucune idée de ce qu'elle deviendra. Elle se créer au moment même ou l'artiste l'imagine. En fin de compte on pourra s'apercevoir de ce que l'œuvre est réellement que lorsqu'elle sera finit. Alain pense donc que l'artiste, ne sachant pas quelle sera son œuvre, est finalement comme un spectateur. [...]
[...] II> les effets produits par l'œuvre Ce que l'on admire est donc la manière dont est conçue une œuvre. Mais, lorsque l'œuvre est terminée, par quels moyens pourra-t-elle rester fascinante sans que l'on ne s'en lasse, contrairement à l'imitation ? HEGEL distingue deux types de plaisirs lorsque l'on regarde une œuvre d'art. Il y a la joie relative et éphémère que l'on a lorsqu'on regarde une reproduction car l'œuvre est compréhensible et ne transmet rien d'autre que la beauté de la technique et l'illusion de la ressemblance. [...]
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