progrès technique, Arent, mythe de Prométhée, Platon, Protagoras, homo faber, Bacon, Novum Organum, histoire de l'homme, dissertation de philosophie
Il est communément admis que la technique a marqué l'histoire de l'homme, que le progrès technique telle la fabrication d'objets artificiels ont été utiles à l'homme dans le sens qu'ils rendent les tâches plus faciles à accomplir, c'est-à-dire de trouver un confort durable. D'ailleurs, la technique qui vient du grec "technê" désigne un savoir-faire permettant la fabrication d'un objet utile. Pourtant aujourd'hui, la technique a joué un rôle si considérable que nous pensons que par la technique. Cette pensée veut dominer la nature et l'asservir à nos besoins.
[...] L'homme lui possède une technique qui vient de sa main. Avec son pouce opposable, la main constitue le premier outil de l'homme. Il y a 2,5 millions d'années, pour chasser l'homo habilis taillait le silex pour qu'il puisse s'en servir afin de fabriquer des années. L'homme par la technique parvient à maîtriser les lois de la nature. Ainsi Bacon dans Novum Organum déclarera que « pour vaincre la nature, il faut lui obéir » c'est-à-dire que tout maître de la nature suppose une connaissance de ses lois. [...]
[...] C'est l'homme qui a créé la technique et n'a pas su se comporter en philosophe dans ses créations. Il a voulu le luxe ou lieu de se contenter de survivre et de trouver un peu de confort. Le désir est passé au-dessus des besoins. Il a voulu acquérir un bonheur, mais c'est un certain malheur qui lui arrive. La technique n'est pas responsable directement. En effet lors d'un meurtre avec un pistolet, ce ne sera pas le pistolet qui sera jugé, mais le criminel, car le pistolet n'est qu'un moyen en vue d'une fin. [...]
[...] De plus à cause de la technique des problèmes éthiques apparaissent. En Conclusion, le progrès technique peut-être aliénant dans le sens qu'on est plus malheureux de perdre de nouveaux objets que d'acquérir le bonheur à le posséder. L'homme est passé de la maîtrise du feu et de la pierre taillée à celle du moteur à explosion en caryotype humain. L'homme se retrouve dénaturé par la technique. La liberté est peut-être plus redoutable que la technique est elle-même. Comme le dit Arent « quand l'homme est enfin libre, il est devenu un esclave ». [...]
[...] Le progrès technique peut-il être aliénant ? Il est communément admis que la technique a marqué l'histoire de l'homme, que le progrès technique telle la fabrication d'objets artificiels ont été utiles à l'homme dans le sens qu'ils rendent les tâches plus faciles à accomplir, c'est-à-dire de trouver un confort durable. D'ailleurs, la technique qui vient du grec « technê » désigne un savoir-faire permettant la fabrication d'un objet utile. Pourtant aujourd'hui, la technique a joué un rôle si considérable que nous pensons que par la technique. [...]
[...] Tandis que l'animal est par nature enrichi de tout ce qu'il faut pour survivre. Par exemple la peau de l'ours qui le protège du froid ou dans la préhistoire, les dents du tigre à dent de sabre qui lui permet de manger de la viande crue. La technique apparaît tout d'abord comme un moyen de survie, symbolisé par le feu. Avec cette technique et ce feu, l'homme devient « homo faber », l'être susceptible de fabriquer des outils efficaces. Comment l'homme il réussi à fabriquer des outils ? La technique a-t-elle réussi à libérer l'Homme ? II. [...]
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