C'est à la révolution Française que les prisons ont été créées par une loi pénale. Avant, pour les exclus de la société, la sentence utilisée était le châtiment corporel ainsi que l'humiliation collective. A partir du moment où ce droit disciplinaire a été abrogé, les repentis étaient confinés dans des cachots. Ces détenus avaient des conditions de vie d'une précarité absolue (...)
[...] Certains détenus dits les plus faibles ne trouvaient pas leurs places dans ce milieu aussi atypique. Il commençait à y avoir une multitude de suicides. Pour enrayer ce fléau, l'administration Etatique a une idée novatrice. Former et faire travailler les repentis avec un aspect rémunérateur, ce qui doit favoriser la diminution des suicides. De plus la formation permet aussi l'orientation de ses individus afin de les réinsérer dans la vie active pour ceux qui sortiront de la prison. Et enfin ce système a pour effet de gommer les inégalités persistantes. [...]
[...] Ces détenus avaient des conditions de vie d'une précarité absolue. Ils étaient enfermés entre quatre murs avec pour seul confort une botte de paille. Un soupirail fixé sur la porte d'entrée en bois s'ouvrait lorsque le surveillant l'avait décidé. L'hygiène de vie ressemblait à un amas de bête mis dans plusieurs boxes sans pouvoir utiliser la moindre goutte d'eau. La prison se scindait en deux, une partie des détenus purgeaient leurs peines et de l'autre des détenus qui allaient arpenter le couloir de la mort jusqu'à l'échafaud. [...]
[...] Il s'agit des droits de l'homme. Cette partie législative signifie que chaque être humain a le droit au respect et a la dignité. Mais elle était que très peu appliquée à cette époque. Seul les plus fort mentalement arrivaient à ce sortir de cette univers pervers et diabolique. L'humiliation, la déstabilisation morale et psychologique régnaient dans les prisons. La surveillance était quasiment constante, les personnes en détentions pouvaient à peine respirer ce qui favorisait les altercations et les mutineries. Alors sur décision du pouvoir exécutif carcéral, un changement notoire intervenait : l'introduction de la presse écrite en premier ressort et ensuite l'installation de la radio et de la télévision. [...]
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