Voyage, aventure, rébellion, liberté, culture, exotisme, refuge, paysage, Claude Gellée, Jack Kerouac, Jacques Lacarrière, Isabelle Eberhardt, Jean-Jacques Rousseau, Baudelaire, Marcel Proust
Depuis la nuit des temps, les voyages ont toujours été un centre d'intérêt important pour l'Homme. Au début, nous voyagions tout le temps, nous étions nomades. La quête de nourriture nous motivait pour nous déplacer. Mais aujourd'hui, nous avons tout ce dont nous avons besoin près de chez nous. Alors pourquoi continuons-nous à voyager ? À quoi bon voyager ? Certes, nous sommes contraints parfois de nous déplacement pour des raisons professionnelles ou familiales, mais pendant ce temps-là nous sommes invités à partir à l'aventure, au dépaysement, à s'évader, découvrir un monde meilleur et repousser ses limites. Le voyage c'est prendre le large pour toujours dans certaines conditions. C'est un rite de passage qui vise à se comprendre et comprendre les autres, c'est une forme d'expérience.
[...] Lorsque l'on voyage, on peut devenir plus fort et repousser ses limites. Repousser ses limites Certaines personnes ne cherchent pas à voyager pour voir le monde ou à partir à l'aventure, mais curieusement à mieux se connaitre, à repousser leur limite. Lorsque l'on voyage, on peut être livré à nous-mêmes, on peut se retrouver à être seul. C'est dans ces situations que l'on n'aurait pas connues sans, qui nous fais grandir et nous comprendre à nous connaitre. C'est le moyen de se dépasser physiquement dans un certain cas comme pour Jean Jacques Rousseau dans « les confessions », où il y a un dépassement mental pour voyager. [...]
[...] À cette période, on partait en voyage en bateau pour découvrir de nouvelle terre. Le voyage est symbole de liberté, on n'est plus coincé entre 4 murs, on peut aller où on veut. Pour Jack Kerouac, dans « sur la route », il dit que le voyage nous fait gagner en liberté, c'est un moyen de nous échapper physique et mentalement. L'aventure nous ouvre et nous fait gagner en expérience. Jacques Lacarrière le rejoint avec « chemin faisant » ou Jacques se défait de son habitat fixe pour comprendre et approcher à la liberté qu'offre ce mode de vie et déplacement. [...]
[...] C'est un lieu ou règne l'amour (« invitation au voyage » dans les Fleurs du mal). Dans le voyage, il n'y a pas que la découverte d'un monde meilleur, mais la manière que l'on découvre ce monde meilleur qui rend l'expérience incroyable. Dans le cas de Jean-Jacques Rousseau, il raconte dans « les confessions » que la marche devient une véritable ressource lorsque l'on voyage, c'est une véritable révélation. Le retour à la nature lui confère une véritable puissance, quête d'un idéal. [...]
[...] Pour « garder le contrôle ». Ainsi, on peut désirer voyager pour découvrir autre chose, de nouvelle manière de penser, de culture, de paysage. De quitter tout ce que l'on a dû voir et connaitre pour découvrir de nouvelles choses. De cette manière, nous nous ouvrons au monde et à nous-mêmes. Alors, nous pouvons repousser nos limites physiquement comme mentalement. Le déplacement durant le voyage n'est pas forcément simple, elle peut être une contrainte. Mais de cette manière, le déplacement est le chemin vers le but à atteindre. [...]
[...] Pourquoi voyageons-nous ? Depuis la nuit des temps, les voyages ont toujours été un centre d'intérêt important pour l'Homme. Au début, nous voyagions tout le temps, nous étions nomades. La quête de nourriture nous motivait pour nous déplacer. Mais aujourd'hui, nous avions tout ce dont nous avons besoin tout de chez nous. Alors pourquoi continuons-nous à voyager ? À quoi bon voyager ? Certes, nous sommes contraints parfois de nous déplacer pour des raisons professionnelle ou familiale, mais pendant ce temps-là nous sommes invités à partir à l'aventure, au dépaysement, à nous évader, à découvrir un monde meilleur et à repousser ses limites. [...]
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