La Philosophie est un certain mode de pensée déterminé qui a été instituée en Grèce. Elle envisage l'étant en tant qu'étant.
Ce mode de pensée est introduit par Platon sous ce nom au 4ème siècle avant J.-C.
Il va instituer la philosophie par le dialogue.
Il va l'introduire à Aristote, son élève, par la suite son concurrent, qui va ensuite présenter la philosophie sous forme de traités et de dialogues.
La philosophie signifie amour de la sagesse et Platon enseigne à comprendre le désire d'une sagesse. On ne la possède pas, donc on la désire et elle nous manque. L'homme est ainsi constitué et pour Platon il est en permanence en quête d'acquérir la sagesse.
Une grande question se pose, comment la pensée grecque en est arrivée à la philosophie ? (...)
[...] Et comment connaître ce qui est ? Pour Démocrite ce qu'on voit est vrai, la sensation ne se trompe pas. Si c'est faux, l'erreur ne vient pas de la sensation mais du jugement. Socrate, maître de Platon, va tenter de prouver à tout le monde qu'ils ne savent rien. Car il dit que la seul chose qu'il sait c'est qu'il ne sait rien. Il va adopter une position ironique. Poser des questions assez éloignées entre elles pour mettre l'interlocuteur en contradiction avec lui-même. [...]
[...] Elle envisage l'étant en tant qu'étant. Ce mode de pensée est introduit par Platon sous ce nom au 4ème siècle avant J.-C. Il va instituer la philosophie par le dialogue Il va l'introduire à Aristote, son élève, par la suite son concurrent, qui va ensuite présenter la philosophie sous forme de traités et de dialogues. La philosophie signifie amour de la sagesse et Platon enseigne à comprendre le désire d'une sagesse. On ne la possède pas, donc on la désire et elle nous manque. [...]
[...] Elle est ce qui fait que la chose est ce qu'elle est. Saisit par l'esprit. Donc les idées sont la clef de la réalité. Pour prendre un exemple : une tulipe commence à pousser, on peut donc penser que c'est autre chose, une autre sorte de plante. Elle commence à manifester l'idée de la tulipe, donc elle commence à être. Commence à prendre l'aspect propre en ce qu'elle sera. L'idée confère l'être C'est pareil pour la cause de l'être des idées, cela ne peut être que l'idée de l'idée Pour prendre un exemple : l'idée d'un oiseau c'est ce qui fait qu'un oiseau est un oiseau. [...]
[...] Certains pensent que c'est la liberté et leurs droits. Pour les personnes comme Thalès, ce qui est commun à l'humanité est l'eau. Pythagore va dire que le commun ne vient pas de la nature mais que chaque chose est une division du tout. Chaque chose est nombre. Cette théorie va déboucher sur l'espace, donc sur la géométrie. La première notion ontologique de l'être apparaît avec Parménide qui lui pense aussi à un tout mais également à un être, le tout est un étant. [...]
[...] Ce qui fait qu'un oiseau est. Pour être plus précis, ce qui confère l'être à toute chose est le bien, le bon. Ce n'est pas une affaire de qualité ou de compétences mais quelque chose qui se maintient identique à lui-même. Toujours être le même en tout. Comme pour ce qui est beau, ce n'est pas une affaire d'esthétique. Si une chose est bonne, elle est belle donc nous avons une nouvelle notion de la vérité. Une chose qui est belle nous apparaît comme elle est. [...]
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