Les "Lumières" ont commencées avec la Renaissance.
Kant : "Être libre, c'est être raisonnable." (...)
[...] Kant : Etre libre, c'est être raisonnable. Il n'y a donc qu'un seul devoir : vouloir l'universel, dans tout ce que nous faisons, librement. Et ne jamais considérer les hommes simplement comme des moyens (esclaves, machines, animaux), mais toujours en même temps comme des fins (des êtres de raison, citoyens libres de La République universelle des Idées Introduction : Le problème métaphysique se pose du fait que 4 n'est pas identique à 3 : est-on réellement libre lorsque, agissant pour satisfaire telle tendance, on va contre ce que la raison et la moralité exigent ? [...]
[...] L'intuition de la liberté pose donc un problème : elle ne se résout pas. Conclusion : La liberté existe chez tous : on s'imagine ordinairement, écrit Malebranche, que la liberté est égale dans tous les hommes et que c'est une faculté essentielle aux esprits, la nature de laquelle demeure toujours la même quoique son action varie selon les divers objets Mais on se trompe : il n'y a pas deux personnes également libres à l'égard des mêmes objets La liberté s'augmente peu à peu et se perfectionne par l'usage qu'on en fait. [...]
[...] La liberté est donc un fait d'expérience intérieure : elle est l'objet, comme dira Leibniz, d'un sentiment vif interne Réfléchissons cependant sur ce sentiment de liberté Il s'agit d'une intuition. Mais, à elle seule, cette intuition n'est ni clair ni probante. Elle n'est pas claire : car que sentons-nous exactement quand nous nous sentons libres ? De même que toute intuition, celle-ci a besoin d'être précisée, élaborée ; elle ne nous fournit qu'une indication et un point de départ. On verra en effet que cette notion de liberté a été interprétée en des sens très divers par des philosophes. [...]
[...] (Leibniz, Nouveaux Essais) Les conditions de l'action : La Liberté Il va de soi en effet que si l'homme, en un sens que nous aurons à préciser, n'était pas libre, son action ne lui appartiendrait pas vraiment. II) Le sentiment de la Liberté Il y a une chose qui semble nous appartenir en propre qui semble, comme disaient les Stoïciens, dépendre de nous uniquement : c'est notre décision même. Cette précision est importante : on commettrait un grave contresens si l'on croyait que le problème de la liberté met en cause notre action extérieure. Celle-ci peut-être tantôt entravée, tantôt facilitée par les circonstances : cela ne pose aucun problème. [...]
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