Nous allons étudier le chapitre 4 de Zadig intitulé « L'envieux ». Zadig est un conte d'apprentissage, sous l'ère de la grande Égypte, où l'on nous détaille les mésaventures d'un philosophe. Ce conte oriental a donc pour but de défendre des idées propres.
Il fut écrit par Voltaire (1694-1778), dit François Marie Arouet, philosophe des lumières, réprimandé plusieurs fois pour ses différentes satires de la société française (...)
[...] Il fait ainsi référence à la religion de l''époque et donc surtout à l'obscurantisme. Fanatisme religieux. Dans cette seconde étude, Zadig dénonce les idées fanatiques de Zoroastre, il parle de griffon pour ne pas contredire les dogmes religieux. Zadig est le dernier à utiliser la raison contre la religion. Il se voit ainsi accuser et dénoncer à l'archimage nommé Yébor Voltaire, en citant ce nom, fait une anagramme du nom de l'évêque Boyer et ainsi règle ses comptes contre l'homme, qui après la publication des lettres philosophiques l'a desservi auprès de la cour. [...]
[...] Il utilise l'ironie, l'antiphrase entre les paroles et les sanctions. Il se moque du régime de l'époque et est contre toute forme d'obscurantisme. Il dénonce les rîtes qui s'oppose à la raison. La dénonciation se retrouve dans beaucoup d'écrits du 18ème siècle dont les diverses pensées sur la comète de Pierre Bayle. [...]
[...] Ce conte oriental a donc pour but de défendre des idéées propres. Il fut écrit par Voltaire (1694-1778), dit François Marie Arouet, philosophe des lumières, réprimandé plusieurs fois pour ses différentes satires de la société franççaise. Voltaire dans ce livre, montre la raison et la curiosité de savoir que prône les philosophes des lumières dont il fait partie avec Rousseau, Diderot et Montesquieu. La défense perpétuelle de ses idées lui valut des condamnations pour la Bastille ainsi que d'être exilé en Angleterre où il écrivit les lettres philosophiques Problématique Nous allons suivre, tout au long de cette étude, la problématique suivante : De quelle façon les idées philosophiques sont-elles exprimées ? [...]
[...] En effet, ils débattent sur le fait de ne pas manger de griffon. Suite à cela, las savants se questionnent sur l'existence du griffon puis ils en arrivent à la conclusion qu'il existe bien puisque Zoroastre ne veut pas qu'on en mange Ils confondent ainsi science et croyance en écoutant l'homme qui institua la caste des mages. Ils débattent, d'une façon absurde sur un animal mythique mi aigle mi lion. On remarque l'apparition de cet animal apportant un coté plaisant au conte et ainsi complétant l'aspect oriental. [...]
[...] L'archimage, en plus de confondre science et religion, regroupe plusieurs cultures religieuses. L'auteur dénonce encore une fois la stupidité des rîtes, la bêtise et le fanatisme des dogmes qui composent la vie de l'archimage. Zadig se retrouve une nouvelle fois dans une drôle de situation et voit arriver l'aide de son véritable ami Cador qui n'hésitent pas à rallier le camp de l'archimage, il dit vivent le soleil et les griffons ! Gardez vous bien de punir Zadig : c'est un saint ; il a des griffons dans sa basse-cour, et il n'en mange point La différence avec l'esprit des lumières est encore une fois présente puisque Yébor, n'ayant pourtant jamais vu de griffons, ne va pas vérifier la véracité de ces affirmations. [...]
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