Une société, est un ensemble d'individus vivant habituellement sur un territoire donné, et considérés dans le rapport culturel et économique. Sachant que ce qu'on appelle « culture » est le langage.
Dans une société, il y a toujours des valeurs communes nécessaires à l'unité et à la concorde, la langue, la religion, les intérêts économiques, les moeurs (manières de se comporter). Ses valeurs ne sont pas toujours satisfaites mais souvent présentées, et créent l'unité sociale (...)
[...] La notion de peuple est importante dans la société. Ces éléments réunis, constituent la conscience nationale et conduisent quelques fois à des revendications autonomiste, conduisant à des divisions, tel que la Belgique, diviser par une différence de langue, mais désormais surtout dû à une divergence économique. Le concept de nation contient le risque de l'exclusion, mais peut aussi se monter perméable, comme on le voit dans les institutions juridiques des pays modernes, qui accordent la nationalité à des résidants issus d'autres société, sans invoquer le droit du sang, ni exiger des requérants un autre conformisme que le respect de la loi. [...]
[...] L'invisible serait donc le comportement attendu sans que cela soit explicite (les us). Les exigences de la société de la société sont parfois difficile à surmonter et entraine une rébellion qui se termine souvent par une marginalisation, ou exclusion. Ces obligations sociales ne doivent pas être confondues avec les lois de l'état, car elles ne sont pas officielles. Mais elles sont souvent aussi exigeantes, et la désobéissance fait l'objet de punitions. Des punitions aussi redoutables (humiliation, rejet). La société produit donc des règles, l'état des lois. [...]
[...] L'idée que les hommes pour vivres en société, ont dû accepter de vivre ensemble sous certaines conditions, et exigences de vie sociale. Ce contrat social est un pas de plus vers l'auto-détermination de l'Homme, et ceux en échange d'un avantage supérieur. Pour Rousseau, le contrat social, est beaucoup moins avantageux que l'état de nature, car l'homme est plus heureux quand il n'a aucune exigence d'une société. L'état nature, se donc plus qu'imaginaire. Selon Hobbes, les Hommes sont naturellement dans un rapport de rivalité, et il est donc inévitable qu'ils se combattent pour la possession de biens économiques. [...]
[...] Caractère contingent et indispensable. Les philosophes du XVIIème siècle, comme Hobbes, Locke, et Rousseau, ont tentés de ce représentés l'homme primitif avant la socialisation, un Homme à l'état nature. Et pour ceci ont fait appel à l'imagination, d'où des récits imaginaires de l'état nature. Cet appel à l'imagination est dû à, qu'il n'y a pas de sources historiques, et qu'il s'agit de penser l'Homme hors de toutes cultures, alors que c'est cette culture qui définit l'humanité. C'est la deuxième raison, qui est la plus préoccupante, car sans culture, l'homme est semblable à l'animal. [...]
[...] Sans cette autorité, le chaos régnerait. Donc la position de Hobbes, est très pessimiste envers l'état de nature. Il serait adepte d'une monarchie pour faire régner l'ordre. Pour Rousseau, l'état de nature, serait un état de solitude, et donc de paix. En effet, l'Homme est un animal pacifique qui ne cherche pas l'affrontement, et qui s'éloigne pour satisfaire ses propres besoins. C'est donc une vision idyllique de l'état de nature. Le passage à l'état social est selon lui presque inexplicable, ce qu'il tente de démontrer dans du discours . [...]
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