La religion est une grande inspiration dans toutes les civilisations. Elle est la culture dominante des différentes civilisations, qui, inspira la vie personnelle des croyants ou adeptes, mais aussi les arts, et les lettres, et même l'organisation sociale, politique et plus surprenant le calendrier (jours fériés). De plus les religions disparaissent très rarement, car la religion est omniprésente dans la vie quotidienne.
La philosophie s'intéresse aux différentes religions parce qu'elles prétendent répondent aux questions philosophiques, en particulier à des questions d'ordres morales et existentielles, tel que l'existence de Dieu (...)
[...] Pour Freud la religion est donc une Sublimation. Et pour lui le désir sexuel est le plus important, et la plus frustrée due à toutes ces réglementations dans les sociétés. Sont idée fut qu'aucun désir ne peut être satisfait sur l'objet celui de départ, donc on le déplace sur un objet B. Selon Freud, l'on vie contre nature, l'éducation est une transformation de la nature. C'est en ceci, que la religion peut servie de sublimation, parce qu'elle peut réduire la crainte de la mort, en promettant l'immortalité de l'âme et en assurance l'amour inconditionnelle de Dieu. [...]
[...] Kant considéra donc finalement qu'aucun argument de la métaphysique ne constitué une véritable preuve de l'existence de Dieu. Mais il s'efforça de montrer que la croyance en Dieu, n'est pas contraire à la raison ; postulat de la raison pratique. La métaphysique conduit donc aux portes de la religion, mais n'en n'assure en aucun cas l'accès. Pour faire face à cette religion, différentes positions peuvent être adoptés : - La reconnaissance, elle reconnaît la valeur de la religion, dans la mesure où celle-ci répond de manière satisfaisante aux questions métaphysique. [...]
[...] Des philosophes diffèrent de ce que l'on a pu rencontrer auparavant. Ce sont des philosophes athées, qui n'ont jamais cherché à montrer l'inexistence de Dieu. Leurs particularités sont qu'ils critiquent les fondements de la croyance religieuse. C'est cette critique de la croyance religieuse, qu'on appelle soupçon. Car elle soupçonne que cette croyance, n'est pas d'origine mystique, mais d'origine sociale ou psychologique. La religion n'est donc pas critiquée du point de vue de Dieu, ou de la religion, mais des croyances. [...]
[...] On peut donc l'attribué aussi bien à la grâce divine qu'à la folie humaine. Exemple : - la conversion de Saint Paul (Actes des Apôtres, chapitre sur le chemin de Damas, où il connut une expérience mystique. - La Nuit des mémoriales, de Pascal, dans sa période mondaine, il est indifférent à la religion. Cependant l e 2 novembre 1654, il connut une expérience mystique de 22h30 à 00h30. La religion et la philosophie ont 2 idéaux différents : - L'idéal de la philosophie, est la sagesse. [...]
[...] Pour Thomas d'Aquin, la philosophie a besoin de la religion pour comprendre, donc la philosophie devient la servante de la religion. Anselme avait donné comme argument à l'existence de Dieu toute chose doit avoir une cause Cette origine de la croyance repose sur le principe rationnel de causalité ou principe de raison suffisante : toute chose doit être explicable par une cause ; le monde physique dans sa totalité doit avoir une cause ; cette cause est forcement métaphysique : C'est l'idée de Dieu créateur. [...]
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