Les philosophes présocratiques de la Grèce antique s'attachaient a étudier la nature et ses phénomènes : ils y voyaient un moyen d'expliquer le monde. Puis, des Socrate, les philosophes sont mont »s a un degré supérieur, abstrait dans la vision du monde. Leur étude s'élèvent désormais au dessus de la nature pour réfléchir sue l'homme, sur son essence, sa finalité : les philosophes ne s'attachent donc plus seulement a la physique mais aussi a la métaphysique. La philosophie, ainsi, tend à acquérir la certitude dans la connaissance de l'homme ou de l'âme humaine si on considère la psychologie qui s'attache à étudier cet aspect de l'homme (...)
[...] Socrate ne réfléchissait donc pas sur les sciences. Il tendant a une connaissance de l'homme mais pensants l'acquérir par sa propre expérience, en partant de la connaissance de soi même. C'est pourquoi il aimait répéter la devise du temple de Delphes : Connais-toi toi-même L'enfant sait également tout ceci : il est avide du monde extérieur mais part de sa vie personnelle pour se poser des questions. En effet, l'enfant est philosophe. Très tôt, il s'étonne de tout et s'interroge surtout, cherchant incessamment la certitude. [...]
[...] Enfin qu'est ce que réellement la philosophie et de quoi nécessite-t-elle pour acquérir la certitude ? De nombreux cas mettent en évidence l'inutilité de la réflexion sur les sciences dans la recherche de la connaissance de l'homme. Penchons-nous sur l'exemple du premier philosophe, Socrate. Bien le connaître, c'est connaître ce qu'est la philosophie. Cet homme de l'Antiquité grecque prit un jour conscience de son ignorance et résolut alors de consacrer sa vie a la recherche du savoir. Il vécu en ascète, ayant quitté sa profession et s'attachait a éveiller les esprits des autre a la vérité en les faisant réfléchir. [...]
[...] Cependant, la conception de l'homme de la part des positivistes ou même des sociologue qui considèrent l'homme comme un individu et moyen pour l'ensemble nie sa division spirituelle a laquelle s'intéresse la métaphysique. Ainsi cette conception presque matérialiste de la nature humaine ne semble-t-elle pas égarer la philosophie de sa véritable finalité : connaître l'homme sous tout ces aspect et surtout de l'intérieur. Ceci nous ramène à redéfinir la philosophie, de spécifier sa fin et de noter les moyens nécessaires à l'acquisition de la certitude. [...]
[...] Mais nombreux sont ceux qui ne s'y sont pas satisfaits et qui ont donné la primauté de l'acquisition de la certitude aux sciences. Cette conception s'éloigne cependant de celle de la métaphysique et c'est le danger de la science. La philosophie, elle, met l'homme au centre de son étude et réfléchit sur toutes les autres études du point de vue interne de l'homme, à la différence des sciences. La réflexion sur les sciences est donc utile à la philosophie qui ne peut s'en passer mais il faut toujours considérer qu'elle est un moyen et non une fin pour la philosophie. [...]
[...] La philosophie, pour parvenir au terme de sa réflexion, nécessite donc d'une grande rigueur dans la manière de vivre comme dans la recherche de la vérité. Sa connaissance de l'homme peut également se procurer grâce à l'apport des sciences. La philosophie se donne comme finalité essentielle la connaissance de la nature humaine et l'acquisition de la nature humaine et l'acquisition de la vérité en toutes choses. Au premier abord, il semble évident qu'elle ne nécessite pas de la réflexion sur les sciences et qu'une expérience personnelle peut suggère au philosophe pour lui procurer la connaissance de l'homme. [...]
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