... Depuis plusieurs siècles, les êtres humains ont de la difficulté à vivre en société. En effet, plusieurs guerres ont affectées l'histoire de l'humanité. Les humains ne peuvent donc pas vivre en harmonie, sans avoir de conflits. Pourquoi ? Sommes-nous nés pour la haine ? L'origine de ces conflits est presque toujours la même : la différence. Pourquoi y a-t-il des guerres de religion, qui font que des milliers de personnes meurent chaque année, car elles veulent inculquer leur croyance à des étrangers ? Est-ce qu'un jour, c'est abominations vont cesser ? Pourquoi n'acceptons-nous pas les différences des autres ?
[...] Les humains ne peuvent donc pas vivre en harmonie, sans avoir de conflits. Pourquoi ? Sommes-nous nés pour la haine? L'origine de ces conflits est presque toujours la même : la différence. Pourquoi y a-t-il des guerres de religion, qui font que des milliers de personnes meurent chaque année, car elles veulent inculquer leur croyance à des étrangers? Est-ce qu'un jour, c'est abominations vont cesser? Pourquoi n'acceptons- nous pas les différences des autres? L'origine de ces problèmes sont les préjugés que nous avons face à l'inconnu. [...]
[...] Ce serait donc un préjugé que j'aurais face aux kiwis qui ne sont que de délicieux fruits. Bien sûr, nous pouvons changer le terme kiwi pour une personne de couleur différente, car il y a eut, et il y a encore, mais beaucoup moins, des préjugés face à la différence de la couleur de la peau des gens. Cette diminution de préjugé est entre autres grâce à l'éducation que nous recevons, qui est ouverte d'esprit. Dès le jeune âge, nous sommes placés, avec des enfants de plusieurs communautés, sans n'avoir jamais entendu parler de différences entre les races Nous nous faisons donc notre propre point de vue face à ce que nous voyons, et nous réalisons qu'il n'y a pas de raisons d'avoir peur des autres. [...]
[...] En fait, la meilleure façon de combattre un préjugé est d'être confronté à ce problème, nous nous retrouvons donc, comme les peuples colonisateurs, à réinventer ce qui est la base. Notre éducation est donc faite à partir de réalités vécues, et non de thèses connus. Conclusion Je persiste donc à croire que l'espèce humaine peut continuer d'évoluer avec l'éducation et l'expérience, en laissant tomber les vieux préjugés soutenus par des thèses boiteuses et haineuses. Par contre, il est vrai que l'expérience que nous vivons peut être fausse. [...]
[...] Dans le présent texte, j'utiliserai le terme préjugé comme voulant dire ceci : Pensée négative faite sur quelque chose, avant même de l'avoir vue, senti, essayé, connu. Ce qui veut donc dire qu'un préjugé se forme dans l'inconnu, dans l'attente de la surprise, dans un manque de connaissance sur le sujet. C'est une sorte de crainte que l'on a face à une certaine nouveauté. Un préjugé est donc un sophisme! D'après moi, il est possible d'extirper un préjugé par la connaissance. [...]
[...] C'est-à-dire qu'il est possible que nous acquérions de l'expérience par des personnes qui ont eux-mêmes des préjugés. Il faut donc se baser sur nos propres expériences et toujours douter de ce que l'on nous enseigne, en remettant en questions les affirmations que l'on reçoit. Cette théorie, de nous défaire de nos anciennes opinions, de commencer tout depuis les fondements provient de Descartes. Ce n'est donc pas que l'éducation qu'il faut afin de vaincre les préjugés, car cette éducation peut provenir de sources douteuses. [...]
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