Dissertation de Philosophie sur le travail. Pourquoi travaillons-nous ? Le travail est-il une nécessité pour l'homme ou est il un simple plaisir ? Faudrait il le concevoir comme un accomplissement de l'homme par l'homme ? Pourquoi de nos jours le travail est il vu comme une sorte d'esclavage et ainsi fui par les hommes ?
[...] Sujet: Pourquoi travaillons-nous ? Chassés de l'Eden où tout leur était acquis, Adam et Eve sont contraints de travailler, pour parvenir à leurs besoins. Cette scène met en valeur l'aspect négatif du travail. Mais si le travail est une activité néfaste, comment expliquer qu'aujourd'hui nous n'ayons pas réussi à supprimer ce dernier de notre vie ? Le travail ne serait-il pas dès lors considéré comme un but pour l'homme ? Mais dans la situation économique actuelle, c'est-à-dire avec l'avènement du salariat, en quoi pourrions-nous considérer le travail pour autrui comme un but ? [...]
[...] C'est pourquoi on peu la confier à des esclaves. L'homme libre lui ne travaille pas comme le pense Aristote ou Platon. En effet pour eux la politique ou la philosophie n'est en aucun cas un travail. Ce qu'ils définissent comme travail est purement matériel et sans activité intellectuelle manifeste. Ainsi dans cette définition on peu dire que l'homme qui philosophe accomplit davantage son humanité que l'homme qui travaille. A notre époque le travail est un terme bien plus large dont tout le monde en fait l'expérience. [...]
[...] Le travail permet dont un certain contrôle de nos désirs. C'est l'individu qui exerce sa liberté comme pouvoir de refuser un milieu donné, d'exiger que ce qui est n'existe pas le devienne: ce manque éprouvé c'est le désir dans lequel la liberté de l'individu se pose, par lequel l'individu se transforme en sujet, en projet, en capacité de choisir une fin dans laquelle il se reconnaîtra. Alors que, devant la tempête, l'animal fuit vers un lointain abris, l'homme reste, refuse le milieu et le transforme selon son désir, en amenant la construction de maisons, par le travail et donc de satisfaire le désir de rester malgré un opposition de la nature. [...]
[...] Marx dénonce l'exploitation de travail salarié. Comme si le travail été un malédiction qui provient en réalité de la façon dont il est socialement organisé. Nous pouvons comprendre que le travail soit parfois une atrocité quand on prend conscience que certaines personnes travaillent dans des conditions inadmissibles et que ce dernier leur permet à peine de survivre. Aujourd'hui on peut réellement dire que le travail a perdu toutes ses vertus que les philosophes ont pourtant définies comme essentielle à la condition humaine. [...]
[...] Un autre aspect du travail est présenté dans les temps modernes de Charlie Chaplin. Il montre cette répétition incessante des mouvements qui font de l'homme un machine qui ne réfléchie plus, qui agit sans but précis si ce n'est de réaliser un action. Ceci n'est pas l'image primordiale du travail, notre société produit finalement une perte des valeurs de chacun et empêche cette humanisation pourtant essentielle. Ce qui explique que le travail soit fuit par les hommes, qu'il soit qualifié d'odieux et désagréable. [...]
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