Il faut distinguer le fait et le droit. Le fait désigne la réalité, ce qui est. Le droit désigne ce qui devrait être. Ex : commettre un vol est un fait mais on n'avait pas le droit de le commettre.
Il existe deux types de droit : le droit positif (justice) désigne le droit institué par les hommes, il peut être oral et prendre la forme de la coutume ; le droit moral (droit naturel) serait la conscience indifférente du bien ou du mal. Ces deux droits peuvent s'accorder ou entrer en conflit (...)
[...] Chapitre 16 : La politique Introduction : Il faut distinguer le fait et le droit. Le fait désigne la réalité, ce qui est. Le droit désigne ce qui devrait être. Ex : Commettre un vol est un fait mais on n'avait pas le droit de le commettre. Il existe deux types de droit : le droit positif (justice) désigne le droit institué par les hommes, il peut être oral et prendre la forme de la coutume ; le droit moral (droit naturel) serait la conscience indifférente du bien ou du mal. [...]
[...] La légitimité du droit 1. Les formes et fonctions de l'Etat Le droit suppose un pouvoir qui va lui permettre de s'imposer. Weber distingue trois fondements du pouvoir : Le pouvoir traditionnel (ex : pouvoir patriarche), se pouvoir repose sur un ensemble de coutumes qui ont une valeur sacré c'est un pouvoir de discussion. Le pouvoir charismatique : quand une personne a des qualités exceptionnelles, il peut être guide, ex : lors des crises. La pouvoir rationnel : il repose sur la croyance, la reconnaissance de la légalité du droit et qui trouve sa forma achevée dans l'Etat. [...]
[...] III- le pacte social (chap. Dans le paragraphe tout se replonge dans le dernier terme de l'Etat de nature. On réfléchit sur les termes d'un contrat social grâce auquel le peuple se constitue comme peuple. Donc si on réfléchit sur le contrat social, c'est que le peuple n'est pas encore constitué donc, c'est l'état de nature. La dernière étape du contrat de nature est la guerre. C'est un état où tous les hommes sont menacés dans leur survie, leur propre force ne suffit plus pour garantir la survie. [...]
[...] Que le peuple se vende ou se donne au roi, ce n'est pas possible. Rousseau fait un raisonnement concessif car il réfuté ce qu'il vient de dire. Admettons qu'on devienne esclave de quelqu'un, cette personne qui s'aliène volontairement, dans quelle mesure peut-il engager ses enfants. Jusqu'à leur autonomie, le sort de ses enfants est entraîné qu'à l'intérieur de la limite du pouvoir paternel. Dès qu'il devient adulte, l'autorité du père se dissout et en même temps, qu'elle prenne tous les engagements qu'il avait pris. [...]
[...] Ceux qui ne le passent pas seront exclus mais pas obligés. On se destitue de tout : propriété, force, liberté. Le contrat social est unique parce qu'il est le seul à faire exister les 2 parties contractantes car le peuple se constitue en tant que tel (une partie), on fait exister l'état (entité abstraite). La volonté générale, pour Rousseau, serait : la somme des volontés individuelles quand elles sont dirigées par la raison. L'Etat rend la liberté car obéir à la loi, c'est obéir à soi-même. [...]
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